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mardi 30 décembre 2014

Philosophie, gnoséologie, matériologie, physique, biologie, humanologie (version 1.01)


par Yanick Toutain

V 1.01 30/12/14




17/02/14
Gnoséologie
Matériologie
Physique
Biologie
Humanologie
01°
Les lois de base sont communes
L'univers est formé uniquement d'atomos et de vide
Les lois régissant les mouvements des atomos forment la Mécanique de base et sont le socle de la totalité des lois des 2 domaines philosophique et des 3 domaines scientifiques
Aucune loi ne peut être contradictoire avec la Mécanique de base
C'est le processus de transformation quantité-qualité qui fait apparaître le phénomène d'agglomération (nouveaux types de groupements d'atomos) et de grumélation.
Les lois sont groupées en deux domaines conceptuels : la philosophie et les sciences.
La philosophie est le domaine conceptuel qui étudie les lois communes aux trois sciences.
Elle comporte la gnoséologie et la matériologie.
L'auto-programmation algorithmique que beaucoup de charlatans rhéteurs placent dans le domaine de la philosophie relève en réalité d'un sous-domaine de la psychologie.
A l'exception du strict débat sur le déterminisme (qu'ils appellent débat sur la liberté des humains) et qui relève d'un point de vue gnoséologique quant à la question de      l’enchaînement des causalités.
Les 3 domaines scientifiques portent sur trois niveaux d'agglomération. Chaque niveau est évidemment l'étude de l'agglomération des entités des niveaux inférieurs. Il ne peut être contradictoire avec les lois des niveaux inférieurs d'agglomération.
La gnoséologie a pour domaine l'étude de ce qui peut être connu.
A l'exception des lois générales régissant du domaine de la matériologie.
La matériologie a pour objet la découverte des lois régissant aussi bien la physique, la biologie que l'humanologie.
A l'exception de      l'étude des règles régissant ces règles
La physique a pour objet la découverte des lois régissant les entités de base et des agglomérations les plus simples : atomos, photons, électrons, atomes, planètes, étoiles, galaxies, amis etc.
A l'exception des agglomérations vivantes.
La biologie a pour objet la découverte des lois régissant les entités vivantes : ADN, cellules, animaux.
A l'exception des humains en tant qu'être conscients et groupés en société.
L'humanologie a pour objet la découverte des lois régissant les groupes d'humains.
C'est l'agglomération d'êtres humains en société qui rend possible la découverte de lois génériques donnant les clés du fonctionnement de ces sociétés.
Naturellement,
 les lois de base de toutes les sciences et de la matériologie – telles qu'énoncées ici - relèvent de la gnoséologie.
Si les lois de la matériologie sont à la fois les lois de la Mécanique de base et à la fois les lois des niveaux supérieurs
d'agglomération, c'est à cause de phénomènes d'agglomération eux-mêmes..
Les concepts de base de la physique ont été donnés par le jeune Isaac Newton à l'âge de 23 ans dans son De Gravitatione
"Def. 1 Le lieu est une partie de l'espace que quelque chose occupe entièrement.
Def. 2 Le corps est ce qui remplit un lieu.
Def. 3. Le repos consiste à rester au même lieu.
Def. 4 Le mouvement est le changement de lieu "


10°
Les lois fondamentales de la gnoséologie sont données par VI Lénine dans son « Matérialisme et empiriocriti-cisme » et reprennent les découvertes conceptuelles de Friedrich Engels et de Karl Marx énoncées principalement dans l' »anti Feuerbach » et dans « La Dialectique de la Nature »
Les lois fondamentales de la matériologie sont les 3 lois de la dialectique décrites par Friedrich Engels à la suite de Hegel et avec l'aide de Karl Marx.
Elles sont données dans son ouvrage « Dialectique de la nature ».
Transformation quantité qualité
Contradiction dans la contradiction
Interpénétration

des contraires
Ces concepts énoncés dans le De Gravitatione
 ont été confirmés et précisés
dans les Scholies de son ouvrage "Principes Mathématiques
de Philosophie Naturelle"
I. Le temps absolu, vrai et mathématique, sans relation à rien
d’extérieur, coule uniformément, et s’appelle durée
(...)

II. L’espace absolu, sans relation aux choses externes, demeure
toujours similaire et immobile. 
(...)III. Le lieu est la partie de l’espace occupée par un corps, et par
rapport à l’espace, il est ou relatif ou absolu. 
(...)IV. Le mouvement absolu est la translation des corps d’un lieu absolu
dans un autre lieu absolu, et le mouvement relatif est la translation

d’un lieu relatif dans un autre lieu relatif(...)


11°
L'univers existe indépendamment de l'existence et de l'activité de toutes sortes de conscience.

Aucune physique ne peut être construite sur l'assertion que l'immobilité aurait été constatée expérimen-talement
Conformément

aux propos de Isaac Newton 
dans ses Scholies
"Le repos et le mouvement relatifs et absolus sont distingués par
leurs propriétés, leurs causes et leurs effets. La propriété du repos est
que les corps véritablement en repos y sont les uns à l’égard des autres.
Ainsi, quoiqu’il soit possible qu’il y ait quelque corps dans la ré-
gion des fixes, ou beaucoup au-delà, qui soit dans un repos absolu,
comme on ne peut pas connaître par la situation qu’ont entre eux les
corps d’ici-bas, si quelques uns de ces corps conservent ou non sa situation
par rapport à ce corps éloigné, on ne saurait déterminer, par le
moyen de leur situation que ces corps ont entre eux, s’ils sont véritablement
en repos. "
(...)

 Ainsi
les mouvements entiers et absolus ne peuvent se déterminer qu’en les
considérant dans un lieu immobile : et c’est pourquoi j’ai rapporté cidessus
les mouvements absolus à un lieu immobile, et les mouvements
relatifs à un lieu mobile. Il n’y a de lieux immobiles que ceux
qui conservent à l’infini dans tous les sens leurs situations respectives
; et ce sont ces lieux qui constituent l’espace que j’appelle immobile.


12°
Tout se résume à l'existence d'événements, de signaux et de récepteurs de ces signaux.

Il en résulte que la totalité des concepts socles de la physique sont à considérer par rapport à un déplacement de la totalité des corps qui se déplacent dans le vide.


13°
Le fait que l'univers se résume à des atomos, à des agglomérations d'atomos et à du vide implique que, conformément aux thèses de Democritos et de Titus Lucretius la science consiste en définitive à l'étude de ces agglomérations..

En particulier le concept d'inertie qui est exposé dans les lignes qui suivent les thèses ci-dessus.
AXIOMES
OU LOIS DU MOUVEMENT.
PREMIÈRE LOI.
Tout corps persévère dans l’état de repos ou de mouvement
uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins
que quelque force n’agisse sur lui, et ne le contraigne à
changer d’état."
Cette loi doit donc se comprendre comme une INERTIE ABSOLUE par rapport au vide 


14°
La thèse précédente implique donc la véracité de la thèse de Puthagoras et de son école : toute construction conceptuelle scientifique ne peut se faire qu'en utilisant des nombres entiers.




15°
Les quatre révolutions scientifiques historiques que furent celles initiées par Puthagoras, par Leukippos et Democritos (suivis par Epicuros et Titus Lucretius) , par Isaac Newton puis par Planck qui occulta son réel fondateur Boltzmann on pour caractéristique principale le rappel de cette énumération entière des agglomérations physiques.




16°
Ce que Cheikh Anta Diop décrit sous le nom de « les trois principes fondamentaux de la macrophysique : le déterminisme des lois, la causalité, l'objectivité des phénomènes et de la réalité physique. « s'appliquent non seulement à ce qu'il appelle la « macrophysique » mais à la totalité du champ de la connaissance. Rien n'échappe à ces trois principes fondamentaux. Prétendre les quitter relève de l'escroquerie obscurantiste anti-scientifique et anti-matérialiste qui est le versant idéelle du combat de la strate des Parasites.




17°

Aucun expérience ou prétendue expérience relevant d'une ou plusieurs des trois domaines scientifiques ne peut remettre en cause les fondements de la gnoséologie. La prétendue expérience d'Alain Aspect n'est, du point de vue gnoséologique qu'une attraction de foire pour gogos hypnotisés.
Ni l'objectivité du monde, ni l'existence de lois causales et le déterminisme ne peuvent être récusées par des lois locales ou de pseudo-expérience.




18°

A contrario, le désaccord entre les conclusions d'une prétendue expérience, ou d'une prétendue grille conceptuelle scientifique avec les lois de la gnoséologie ou celles de la matériologie est toujours la preuve de ce que cette prétendue expérience ou cette prétendue grille théorique sont manifestement fausses.




19°

La fausseté du protocole expérimentale ou des grilles théoriques contradictoires avec les lois de la gnoséologie ou celles de la matériologie n'a pas besoin d'être explicité par une description précise du lieu du trucage.




20°

Le fait que le trucage ait eu lieu quant aux prétendues données expérimentales (fausse pertinence) ou qu'il ait eu lieu dans une faille logique de la démonstration (fausse cohérence) est superfétatoire à la récusation de ces assertions obscurantistes.





21°

A titre d'exemple, la relativité, ses prétendues preuves, la mécanique quantique, ses prétendues preuves sont comme les 5 éléments d'Aristotélès en contradiction avec les lois de la gnoséologie. Cela suffit à en récuser les prétentions et à      classer ces fariboles parmi les tentatives d'escroquerie dont l'humanité est victime depuis 5000 ans.




22

Prendre en considérations les prétendues preuves des ignares hostiles à la gnoséologie matérialiste est une faiblesse inacceptable. Telle par exemple cet absurde « témoignage » du matérialiste Cheikh Anta Diop :
« On ne peut pas mieux montrer que c'est seulement à l'arrivée, au contact des polariseurs, que les photons prennent leur polarisation, et que ce fait est accompagné d'une information supra-luminale de sorte que, s'il s'agissait de dés jetés sur la table, quand l'un montre le (4), l'autre dé aussi montrerait le (4), après      information par voie supra-luminale, venant du premier. »










jeudi 4 décembre 2014

Cours de science objective : Vitesses objectives et "vitesses perceptives" (nouvelle présentation)

par Yanick Toutain
RevActu
22/03/2010 20:43
=



(toutes les distances sont en Mégamètres (Mm), les durée en s et les vitesses en Mm/s)
introductionSam a pour vitesseS =50





Walter a pour vitesseW =200

Ils avancent dans la même direction tous les deux



La vitesse de la lumière est

C =300


Ils commencent leur trajet à partir du même point-origine


(on remarque que l'écart entre va se creuser deW – S =150)

On appellera distesse la valeur de l'augmentation de l'écart par unité de temps



W – S = D =150


















Après un délai égal àp =70secondes


Sam a parcouru une distanceS* p =3500


Walter a parcouru une distanceW* p =14000
















première partieSam émet un flash lumineux





Ce flash va rejoindre Walter après un trajet dont le délai est q


Pendant ce délai q, Walter aura continué d'avancer, il aura fui le signal à une vitesseW

Il aura donc parcouru une distance supplémentaire égale àW* q

Tandis que, dans le même délai, la lumière du flash lumineux, avance à la vitesse C

Le flash lumineux aura donc parcouru une distanceC* q

















On peut donc écrire l'égalité





S p + C q = W p + W q (3)


Cela a pour signification que le trajet initial de Sam plus le trajet du signal lumineux est égal au trajet

total parcouru par Walter depuis l'origine.




On appelleratce temps total du parcours de Walter jusqu'au moment où il reçoit l'image

du flash lumineux en provenance de Sam.




Soit t = p + q et donc q = t – p ou encore p = t - q (4)

On peut donc calculer q







C q - W q = W p - S p



q ( C - W) = p ( W - S )



q = p ( W - S ) / ( C - W)



q =105



On a donc la valeur de t = p + q






t =175



S* p =3500C* q =31500

W* p =14000W* q =21000









S1S2
W3


203500
35000



W1
W2W3


10
1400035000



























On pouvait calculer q on fonction de la valeur de t. A partir de (3) on pouvait écrire


S ( t - q) + C q = W ( t - q) + W q


et trouver la valeur de q





q (C - S) = t (W - S) (5)


q = t * (W - S) / ( C - S )

on confirme donc queq =105



















Cette équation va nous permettre de connaître la valeur de m.


En effet, m est la phitesse de Sam pour Walter. Elle est sa « phi-vitesse ».

Son sens est celui qui est donné à ce qui est appelé « vitesse radiale » par les orthodoxes.









Mais cette prétendue vitesse n'est rien d'autre que la variation de la longueur des trajets parcourus

par les images observées d'un corps en mouvement par unité de temps.

La phitesse de Sam pour Walter est donc la valeur c* q divisée par t.


C* q étant la longueur du trajet parcouru par le flash lumineux et t le délai du voyage de Walter

depuis l'origine commune.






On a donc






m = C *q / t


m = C * (W - S) / ( C - S )











m =180



La phitesse de Sam pour Walter est donc égale à180


On remarque que m, la phitesse est plus grande que la distesse (la variation de l'écart

entre Sam et Walter par unité de temps) en effetD =150

L'explication est très simple : comme Walter fuit l'image de Sam, le trajet à parcourir

sera plus grand que la distance entre l'émetteur et le récepteur.

































deuxième partieAu même moment que Sam, lui aussi, Walter émet un flash lumineux


Ce flash va rejoindre Sam après un trajet dont le délai est j


Pendant ce délai j, Sam aura continué d'avancer, il aura avancé en direction

du signal à une vitesseS




Il aura donc parcouru une distance supplémentaire égale àS* j

Tandis que, dans le même délai, la lumière du flash lumineux, avance à la vitesse C

Le flash lumineux aura donc parcouru une distanceC* j

















On peut donc écrire l'égalité





S p + S j + C j = W p (8 )


Cela a pour signification que le trajet initial de Sam plus le trajet du signal lumineux

plus le trajet du signal lumineux (en sens inverse) est égal au trajet initial de Walter

On appelleradce temps total du parcours de Sam jusqu'au moment où il reçoit l'image

du flash lumineux en provenance de Walter.



Soit d = p + j et donc j = d – p ou encore p = d – j (4bis)

On peut donc calculer j







C j + S j = W p - S p



j ( C + S) = p ( W - S )



j = p ( W - S ) / ( C + S)



j =30



On a donc la valeur de d = p + j






d =100



S* p =3500C* j =9000

S* j =1500W* p =14000









S1S2
W3


203500
12500



W1
W2W3


10
1400015500



























On pouvait calculer j on fonction de la valeur de d. A partir de (8) on pouvait écrire


S p + S j + C j = W p (8 )



S (d - j) + S j + C j = W (d – j) (8 )



S d – S j + S j + C j = W d – W j



C j + W j = W d – S d



et trouver la valeur de j





j (C + W) = d (W – S)


j= d * (W - S) / ( C + W )

on confirme donc quej =45

















Cette équation va nous permettre de connaître la valeur de l.


En effet, l est la phitesse de Walter pour Sam. Elle est sa « phi-vitesse ».

Son sens est celui qui est donné à ce qui est appelé « vitesse radiale » par les orthodoxes.









Mais cette prétendue vitesse n'est rien d'autre que la variation de la longueur des trajets parcourus

par les images observées d'un corps en mouvement par unité de temps.

La phitesse de Walter pour Sam est donc la valeur c* j divisée par d.

C* j étant la longueur du trajet parcouru par le flash lumineux et d le délai du voyage de Sam

depuis l'origine commune.






On a donc






l = C *j / d


l = C * (W - S) / ( C + W )











l =90



La phitesse de Walter pour Sam est donc égale à90


On remarque que l, la phitesse est plus petite que la distesse (la variation de l'écart

entre Sam et Walter par unité de temps) en effetD =150

L'explication est très simple : comme Sam va à la rencontre de l'image de Walter, le trajet à parcourir

sera plus petit que la distance entre l'émetteur et le récepteur.









































Remarque : les lettres cursives sont des vitesses ou des pseudo-vitesses. En cursives majuscules sont les vitesses absolues.
En cursives minuscules les pseudo-vitesses, les phitesses.



En minuscules d'imprimerie les délais.




En majuscules d'imprimerie les distances.




Les Majuscules d'imprimerie avec indices sont des Instants et des lieux absolus.

Exemple : à l'instant S1, Walter et Sam se trouvaient au même endroit. Au lieu S1.




























LIRE AUSSI

Ce texte est une réécriture du texte de 2006-2007
Il était précédé d'une présentation


COURS DE SCIENCE OBJECTIVE

par Yanick Toutain
débuté en novembre 2006

PRÉSENTATION

Le point de vue auquel se place ce cours est, étonnement, totalement original : il n'existe nulle part sur le net un endroit où trouver une défense des thèses de Newton, de Lénine et des autres matérialistes de l'Histoire.
Ce cours se place donc dans le cadre de l'espace absolu de Lucretius, Democritos, Epicuros, Newton. En y ajoutant la - connue- translation du Soleil.
Le but premier de ce cours est de former rapidement une nouvelle génération de chercheurs véritablement matérialistes. Leur tâche est connue d'avance : il s'agit, pour nous tous, de découvrir, dans les plus brefs délais, quelle est notre vitesse objective, quelle est notre vitesse absolue dans le sens où Newton utilisait ce terme, notre vitesse par rapport au vide. Et, en conséquence de découvrir dans quelle direction nous - la Terre, le système solaire, la Galaxie, le groupe local etc.. - nous nous déplaçons de façon absolue.
L'hypothèse Ain Al Rami, formulée par l'auteur avait pour but de lancer le débat et d'avoir une donnée possible sur laquelle appuyer des raisonnements. Si l'auteur a bénéficié largement du second aspect, le premier a été totalement tributaire de la sclérose orthodoxe positiviste qui fait des ravages jusque dans les rang prétendument matérialistes.


LES TEXTES


Objectif et perceptif Le Soleil
Objectif et perceptif : Mercure (avec schéma sur tableur Excel)

Cours de science objective Les équations I Vitesses objectives et "vitesses" perceptives (f itesses(translation rectiligne à vitesse constante)
Cours de science objective Les équations II Synchronisation (chantier)
Cours de science objective Les équations Tableur
Cours de science objective Les équations exemple avec nombres c=300 S=50 W=200 q= 70 (chantier)

 

lundi 5 novembre 2012

"Zigzags" un texte fondamental écrit le 28 avril 2001 par Yanick Toutain

Ce texte a été publié pour la première fois, il y a 11 ans et demi, le 28/4/2001 sur le site nombrentier. Un site effacé depuis par voila.fr. Il avait, ensuite, été publié un mois plus tard sur les newsgroups USENET. Cette copie est toujours en ligne.

Il est apparu, postérieurement à la rédaction de ce texte que Wilhelm Reich, lui aussi, s'était approché de ce concept de "zigzags". Mais (selon le texte en anglais relatant cela) sans comprendre qu'il ne pouvait être conceptualisé qu'à partir des concepts newtoniens de "déplacement absolu" et de "vitesse absolue".
Pour autant, il faudra mettre en lumière tous ces pionniers qui refusaient l'immobilisme stupide des relativistes et comprenaient que les mouvements de la Terre étaient simultanés aux mouvements du Soleil et de toute la Galaxie - Voie Lactée.
Il est évident que des travaux ont été effectués allant dans ce sens - dissimulés par les escrocs relativistes et leur lobby mafieux.
Il est tout aussi évident que, de la même façon qu'il est envisageable que Isaac Newton ait été le premier (et véritable) auteur de la "véritable loi de la gravitation hélio-planétaire", il est possible que ce concept de "zigzags" puisse se trouver dans des textes inconnus (ou méconnus) rédigés par Isaac Newton lui-même ou l'un de ses véritables disciples méconnus.
Si c'était le cas, je m'en réjouirais !!!
Un véritable disciple qui suppose avoir fait une découverte scientifique ne peut que se réjouir de découvrir, parmi les brouillons non publiés de ses maîtres, que l'un de ceux-ci avait déjà - antérieurement - fait la même découverte !!!
Ainsi va la science !
Ainsi va la solidarité et le respect parmi les meilleurs de la strate des Innovants !

(le texte est celui lisible sur USENET - avec de légères corrections orthographiques)


ZIGZAGS
Ecrit le 28/04/01 par Yanick Toutain

Chaque mois la Lune fait un zig zag autours de la Terre .
Chaque année, celle ci fait un zigzag autour du Soleil.
En 240 millions d'années (calcul fait par les astronomes)le Soleil (donc la Terre, la Lune, Mars...) auront fait un zigzag autour du centre de la Voie Lactée.
Celle ci avance dans l'Univers en zigzaguant elle même autour du centre de l'Amas Local.
L'Amas Local avance en zigzaguant.
L'Univers avance en zigzagant : on ne fait qu'AVANCER en s'ELOIGNANT du lieu d'origine.

ON NE REVIENT JAMAIS SUR SES PAS !

Un habitant de l'Equateur zigzague davantage qu'un habitant du Pôle Nord ou du Pôle Sud : son zigzag a une amplitude, une largeur de zigzag égale au DIAMETRE de la Terre (environ 13000 kilomètres)
L'habitant de l'Equateur avance de gauche à droite en zigzaguant PLUS que le Lapon. Donc il va PLUS vite.Il va plus vite pour effectuer un trajet plus grand
L'habitant du Pôle Nord zigzague un peu de droite à gauche et, très très peu, de bas en haut : Les Anciens disaient que la Terre est "penchée".

Sur Terre, les particules, toutes, zigzaguent. Les vers, les serpents, les spermatozoïdes zigzaguent : Plus la vie est élémentaire, est plus elle ressemble au non vivant.
Les électrons zigzaguent autour du noyau des atomes.
Lorsqu'un grain de lumière rejoint un électron, l'électron chargé d'un photon supplémentaire a une amplitude plus grande. Il zigzague davantage.
Les anciens de la révolution quantique disaient que l'atome était excité.
En fait, il avait juste un électron qui s'écartait davantage du noyau.

Tout n'est fait que de zigzags !

Seules les amplitudes se modifient.
Les vitesses des particules sur Terre reste les mêmes, sinon, les particules quittent la Terre.

Il faut se représenter l'ensemble de l'Univers comme un gigantesque feu d'artifice de zigzags dans les zigzags.

Ce n'est que lorsqu'une "génération", un groupe de découvreurs de tous les âges de 7 (5?) à 77 ans aura pris cela en compte comme la brique conceptuelle que la science commencera enfin.
Les précurseurs, Democrite, Lucrèce, Anaxagore, Pythagore, Galilée, Kepler, Copernic, Newton, Lavoisier, Kronecker, Boltzmann, Planck et Einstein ( sans sa foutaise relativiste) auront le début de la réalisation de leurs rêves.

Tout le reste, mécanique quantique, relativité, Mathématique, Astrophysique archéo-képlérienne ne sont que des charlataneries: la Terre ne REVIENT JAMAIS SUR SES PAS.
L'électron ne fait jamais le "TOUR" du noyau.
Et... Heisenberg retournera d'où il vient: au Panthéon des nazis réactionnaires.
Il ira en compagnie du vaticanesque Cantor et du paradisiaque Hilbert.
La clé est la suivante: La brique de l'Univers, le grain de lumière, le photon zigzague.
C'est CE FAIT qui est la BRIQUE de la TOTALITE du reste.
Les zigzags des photons ENGENDRENT les zigzags de tout ce qui est fait de photons.
Et comme TOUT est fait de photons ....
L'étude de ceux ci ouvrira la voie à la VULCANOLOGIE, à la METEOROLOGIE
etc ...

... A une NOUVELLE ZZ REVOLUTION SCIENTIFIQUE

                               Yanick Toutain
                                le 28/04/2001



NOTES ET COMPLEMENTS
jeudi 28 juin 2012


"ZIGZAGS: La Lune et la Terre vues depuis la planète Mars" Une animation-vidéo et un article du 8 octobre 2007 par Yanick Toutain, (sur Voilà.Monsyte)


ZIGZAGS :

La Lune et la Terre

Vues depuis la planète Mars

N° 1
Une animation matérialiste
de Yanick Toutain
(réalisée avec le logiciel astronomique redshift 4)
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Lorsqu'on observe les mouvements de la Lune depuis un autre endroit que la Terre, les mouvements circulaires ou elliptiques apparaissent comme une vision complètement locale et limitée - même bornée.
En effet, depuis tout autre endroit de l'Univers, à l'exception de la Terre, le mouvement de la Lune apparaît bel et bien comme un mouvement en zigzag : La Lune accélère pour dépasser la Terre, puis ralentit, puis accélère ...
Le mouvement de rétrogradation observé depuis Mars est dû au mouvement propre de la planète Mars. C'est le fait que Mars orbite à une vitesse inférieure à celle de la Terre (sur un rayon plus grand) qui crée ce mouvement de rétrogradation apparente. Le même phénomène peut être observé depuis la Terre quant à la planète Mars elle-même.
L'observation a lieu depuis le pôle nord de Mars : cela explique le fait qu'au milieu de l'animation, on observe la Lune "au travers" du sol rouge de Mars : on "voit" la Terre et la Lune SOUS l'horizon.
=======+++++++=======
La réalisation de cette animation par l'auteur
lui a inspiré la chanson : ""Enfant de bourgeois"

vendredi 15 avril 2011

MANIFESTE MATERIALISTE un texte du 2 janvier 2006 par Yanick Toutain. En défense de Puthagoras, Democritos, Epicuros, Titus Lucretius, Isaac Newton, Marx, Engels et de la gnoséologie de VI. Léniné

MANIFESTE MATERIALISTE

Par Yanick Toutain 2 01 2006
VIDE ET ATOMOS

Tout est vide ou atomos.(*)
Là où se trouve le vide; point d'atomos.
Là où est l'atomos, point de vide.
L'un ou l'autre.
(C'est quasiment du Lucrèce.(*))
L 'atomos est la brique numéro un. Tout est fabriqué à partir d'atomos.
Dans chaque objet, chaque corps, chaque particule, chaque planète, chaque étoile, chaque galaxie, chaque animal, chaque maison, chaque nuage, chaque rivière, chaque microbe, dans chaque océan, dans chaque être humain, il y a, à un moment déterminé, un nombre entier d'atomos.(*)
Isaac Newton et Maurice De Broglie pensaient que l'atomos était probablement la lumière (*).
C'est effectivement probable.
Ou bien l'atomos est la brique qui compose chaque photon.
Puisque l'Univers n'a qu'une brique, l'atomos, la seule science de base, c'est la science du mouvement des atomos.
Ces atomos se déplacent dans le vide et s'entrechoquent.
Nous en connaîtrons bientôt les règles.
* * *
SCIENCE DU MOUVEMENT DES ATOMOS

Cette science du mouvement des atomos s'appellera Mécanique de base.
Cette Mécanique de base est la brique de toutes les autres sciences.
Aucune science ne peut prétendre être en contradiction avec la Mécanique de base.
Les sciences physiques (mouvement des particules et des corps de l'Espace), les sciences biologiques et les sciences humaines étudient des corps, qu'ils soient inanimés ou vivants ou vivants - humains, dont le fonctionnement correspond à la Mécanique de base.
Un champion olympique gagne une épreuve parce que ses atomos (organises en vivant), mis au contact des atomos de la nature [socialisée partiellement] (stade, terrain, bateau etc.) organisée en inanimé, lui ont permis d'avoir la performance la "meilleure".
Connaître tous les atomos concernés par un "cent mètres sprint" permet évidemment de prévoir à l'avance le résultat de la course.
Cette assertion, cette affirmation est la base de toute science.
Celui qui la refuse quitte le groupe des scientifiques pour, rejoindre la horde de la crédulité superstitieuse.
Et cela, quand bien même cette horde obtiendrait des labels de la prétendue "communauté scientifique".
"Communauté scientifique" à laquelle Isaac Newton a craché, par avance, tout son mépris.(*)
* * *
LE TRAJET DES ATOMOS

Lorsqu'il l'a fait, en 1706, la Terre se trouvait à des milliards de kilomètres plus loin qu'aujourd'hui (des dizaines de milliers de milliards de kilomètres quasi certainement. (*)
Les atomos de la Terre de 1706, il y a 300 ans, ainsi que les atomos des êtres vivants qui s'y trouvent, se sont déplacés dans le vide à un vitesse probable de plusieurs millions de kilomètres à l'heure (possiblement vingt *)
* * *
Tous ces atomos ont fait un trajet. Trajet dont rend compte la Mécanique de base.
Ces trajets ont provoqué la Révolution Française, les molécules d'encre des pages des livres "Candide" édités (ouvrage de Voltaire), ont provoqué les creux des CD ROM nous permettant d'écouter la symphonie n°40 de W. A. Mozart.
La Mécanique de base explique tout cela : Avec les règles et les données, la Mécanique de base aurait même pu prévoir tout cela. Laplace, à la fin du 18° siècle, avait totalement raison.
Ses adversaires sont des imposteurs, des charlatans, des mystiques déguisés.
* * *
La seule science de base c'est la Mécanique des atomos (atomostikos => atomostique)
Ce sont les mouvements réels des atomos dans le vide qui sont la seule réalité qui existe. Il n'en existe pas d'autre.
Quiconque refuse cela est un idéaliste masqué.
* * *
BRIQUES PHYSIQUES, BRIQUES BIOLOGIQUES

La science a consisté à découvrir les briques de l'Univers. Ces briques sont physiques (électrons, protons, etc.) ou biologiques (ADN, etc.)
Mais les briques biologiques ont des briques physiques. Les briques de la matière vivante ont elles-mêmes des briques non-vivantes.
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre précis d'électrons et aussi, un nombre précis d'atomos.
Mais chaque électron, lui-même, contient un nombre précis d'atomos [on peut supposer que les modifications de l'orbite de l'électron de l'atome d'hydrogène sont liées à la variation de ce nombre d'atomos, précisément.]
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre déterminé de cellules. Chacune contient un nombre précis d'électrons, d'atomos, etc.
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MODALITES PARTICULIERES DE DEPLACEMENT

Les lois de la Mécanique de base permettront, lorsqu'elles seront complètes, de définir ce que signifie "vivant".
En effet, ce sont des modalités particulières de déplacement des atomos qui fabriquent du "vivant".
La matière vivante, faite de briques vivantes, est faite d'atomos. Mais ces atomos sont groupés d'une certaine façon, se déplacent d'une certaine façon. Et ce sont ces regroupements et ces déplacements qui donnent les briques de la matière vivante.
La clé de la biologie doivent donc être conformes, en conformité, avec les règles de la Mécanique de base, de la Mécanique atomostique.
C'est du domaine de la philosophie que de traiter de cette conformité.
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TRANSFORMATION QUANTITE QUALITE

A titre d'exemple, une des lois fondamentales de la philosophie scientifique, c'est la loi de transformation Quantité Qualité (L.T.Q.Q.)
La L.T.Q.Q. est issue des travaux de Hegel, Marx et surtout Engels.
Elle décrit le fait que toute augmentation quantitative provoque une modification qualitative.
Augmenter la chaleur de l'eau d'une casserole induit un gaz, la vapeur d'eau.
La vapeur d'eau est une transformation qualitative de l'eau liquide.
La forme de la courbe de la quantité d'eau ayant atteint la température de 80 degrés (fonction du temps), est la même que la forme de la courbe du nombre d'agriculteurs sur la Terre : Montée lente, descente rapide.
Chaque seuil quantitatif déclenche l'apparition d'une nouvelle qualité (quantifiable, évidemment).
Tant de gaz après tant de liquide.
Tant d'artisans et d'ouvriers après tant de paysans.
Cette loi T.Q.Q. est valable en physique, en biologie, en sciences humaines.
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CONFORMITE DES SCIENCES HUMAINES A LA MECANIQUE DE BASE

Cela signifie donc que les sciences humaines (leur objet: les hommes) sont, elles-mêmes, en conformité avec les lois de base.
Les hommes agissent déterminés par l'état précédent des atomos qui les composent et/ou avec lesquels ils sont en contact (depuis le plastique du stylo que je tiens jusqu'à la lumière des étoiles lointaines).
Cette détermination physique implique que les lois historiques dérivent de la Mécanique atomostique.
On peut marquer, ici, quelle fut la trahison des pseudo physiciens des années 20, qui, par peur du matérialisme, ont fait dérailler la science physique. Seul De Broglie, tardivement, a amorcé un essai de retour au réel.
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MATERIALISME DIALECTIQUE, MATERIALISME HISTORIQUE

Cela relie les 3 domaines : Les travaux de Boltzmann surtout, puis de Planck, pour affirmer la nature corpusculaire du réel (atomes pour Boltzmann et photons pour Planck et Einstein 1905) avaient pour conséquence de donner raison aux matérialistes grecs de l'Antiquité. Mais, donc, aussi, à Marx, à Engels ainsi qu'à tous ceux qui, à cette époque, sur la base du matérialisme scientifique construisaient le matérialisme historique (l'histoire matérialiste) et œuvraient, en conséquence, à renverser l'oppression capitaliste.
La réponse fut d'abord la répression Versaillaise contre le peuple de Paris, puis, à grande échelle, la boucherie anti-ouvrière de 14-18.
Il faut remarquer, à ce propos, que la construction d'une histoire matérialiste, à partir d'archives, permettra de prouver qu'à la veille de l'été 1914, un nombre important de pays étaient sur le point de voir se produire des insurrections populaires. La Russie étant en tête de liste.
Il reviendra donc à une histoire matérialiste de clarifier, dans la chaîne des causalités, quel facteur a joué le rôle le plus déterminant : "soif de colonies" ou "boucherie préventive pour étouffer les velléités anticapitalistes".
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Cela fait la lumière sur la nature véritable d'une science matérialiste : S'il est envisageable que la volonté des capitalistes a pu être la cause première de la guerre 14-18, cela marque bien la structure d'une véritable science psychologique. Le fait que les classes exploiteuses aient voulu la boucherie, cela aurait aussi pu être prévu par un "deus ex machina laplacien" : Ce sont les structures et les mouvements des atomos des protagonistes des classes exploiteuses qui ont, possiblement, été à l'origine de la décision de la guerre.
C'est, en effet, une vision imbécile de ce qu'est l'histoire matérialiste, le matérialisme historique, que de nier le rôle de la volonté et de vouloir tout rapporter à de "pseudos causes objectives". Il n'est que de lire le magnifique "Révolution russe" de Lev Davidovitch Trotsky, pour voir, précisément, la volonté du fantoche Kerenski s'éroder jusqu'à la folie bavarde en Août - septembre 17, s'éroder face à la volonté grandissante d'un nombre de plus en plus important de russes. Ces chocs de volontés sont des trajets d'atomos, RIEN D'AUTRE.
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MATERIALISME HISTORIQUE ET PSYCHOLOGIE

Point de lutins, point de Gabriel, de Messies qu'on prendrait pour des lanternes.
Ce sont, précisément, ces trajets d'atomos, et eux seuls, qui doivent clarifier l'érosion psychologique de la volonté de Kerenski.
La psychologie - à l'état de travaux préparatoires, dans le livre de LD Trotsky - doit reposer sur un socle matérialiste et donc étudier les classes.
Car la volonté de Kerenski est le résultat de milliers de liens, de stresses, d'échanges verbaux, épistolaires etc. qui le reliaient directement ou indirectement, aux groupes sociaux, aux classes sociales et à leurs intérêts.
Une science psychologique qui serait en désaccord avec une science économique serait une absurdité. De même pour un désaccord entre psychologie et sociologie. Il ne peut y avoir de désaccord. Comment trancher ?
Seule est vraie celle qui est en conformité avec la Mécanique de base.
Prenons comme exemple la "Horde primitive" du semi-charlatan Freud :
Comment des évènements prétendument produits à des milliards de kilomètres, pendant les débuts de la préhistoire [Freud connaissait-il le distinguo paléolithique néolithique ?] pourrait expliquer le comportement du mâle bourgeois de Vienne avec sa femme ? le comportement du fils du bourgeois avec sa mère ?
Fariboles et trucs de commerce.
Bronislaw Malinowski a réglé ses comptes -très drôle ! - à cette transplantation de la famille bourgeoise autrichienne moyenne dans la jungle primitive.
Ce n'est pas de la science. Cela n'est pas en conformité avec la Mécanique de base : Lorsqu'on veut déterminer une influence du passé lointain sur le présent, il faut argumenter, de façon concrète, les médiations. Comme l'a fait Marx quant à l' "influence" de la Rome de l'Antiquité sur la Révolution Française et l'Empire napoléonien.
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HISTOIRE MATERIALISTE CONTRE PSEUDOS DOMAINES ETANCHES

De fait, la clé de cette influence se trouve autant en "psychologie", en "économie" qu'en "sociologie". La lecture des textes d'analyse historique des vrais marxistes prouve qu'on ne peut jamais découper l'Histoire en pseudo domaines séparés de façon étanche.
L'analyse de l'économie capitaliste de 1976 à 2006 passe principalement par l'étude de ce qui se passe dans la tête des travailleurs des pays occidentaux : Comment font-ils pour prendre autant de coups, poussés vers la sortie, vers la précarité, le non droit, vers le chômage, vers le RMI, vers le sommeil sur des trottoirs, vers la mort une nuit de décembre 2005.
La croissance annuelle du CAC 40 a pour origine principale cela : Sans cette passivité des travailleurs - à expliquer -, impossible pour la bourgeoisie d'en finir avec le ratio 70 % - 30 %, salaires - profits. C'est le passage de 30 % à 40 % (de la répartition du PIB) en faveur des profits qui permet cette pseudo croissance boursière.
Et l'analyse des cerveaux prolétaires passe elle-même par la détermination des classes en présence, donc par la construction d'une sociologie scientifique.
En effet, c'est l'explosion du prolétariat en 3 classes concurrentes qui est la clé de l'Histoire du 20° siècle, et donc de la passivité des travailleurs des pays développés.
En effet, de la même façon que la clé de physique supérieure est l'étude des agglomérations d'atomos, formant toutes les sous-particules, puis les atomes, puis les molécules, de la même façon que la clé de la biologie supérieure est l'étude des agglomérations de briques du vivant, de la même façon, la clé de l'Histoire matérialiste, c'est l'étude de l'agglomération des êtres humains.
Il n'est pas dit que la structuration en classes sociales soit le fin mot de l'Histoire. Il est probable que les pressions des Travailleurs Innovants opposés aux Travailleurs Répétants ainsi qu'aux Parasites, les 3 regroupés en STRATES, a pu avoir le rôle moteur le plus important.
Il n'empêche que c'est la détermination de ces groupes de pression qui permettra de construire des modèles informatiques qui pourront prouver que l'Histoire devait passer par tel chemin et pas par un autre.
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TOUT EST DÉTERMINÉ : L'HISTOIRE EST ÉCRITE

Car ce qui effraye les moineaux peureux de la science falsifiée c'est cela : L'Histoire est "écrite".
Tout est prévisible.
Tout est déterminé.
Depuis le probable Big-Bang (à clarifier) jusqu'en 2007 tout était écrit.
Prévisible.
Évidemment.
Oui, mais par qui ?
Effectivement, ce ne sont pas x milliards de photons partis en goguette à l'instant t0 + 5 Temps de Planck qui vont pouvoir prévoir Mozart, ni, même ce texte lumineux.
Ils ne sont même pas encore capables de s'agglomérer pour former un atome d'hydrogène, ni même un électron.
Tout était prévisible … Par personne.
Et alors !
Tout cela est parfaitement logique.
Connaître, en direct, le cerveaux de 2 grands maîtres des échecs permet de prévoir les 20 premiers demi coups de la finale.
Ce sont 2 banques de données qui s'affrontent.
Jouez aux échecs contre un ordinateur. Si le programmeur n'a pas prévu l'usage de la fonction RND (RaNDom = random = hasard), il reproduira la même partie à chaque fois.
Il existe même une fonction SEED(n) qui permet au programmeur de lancer des nombres au hasard, mais toujours la même suite.
Non, ce n'est pas idiot, cela lui permet de tester des jeux dans lesquels on peut tirer des dés, mais en ayant la même suite de tirage, dans le but de tester les réactions de son programme.
Chaque ordinateur contient une horloge. Si je fais SEED(n) avec n = l'heure qu'il est (quand le joueur appuie sur la barre "espace" du clavier), je me retrouve avec un vrai(faux) hasard.
Un vrai hasard, car il est impossible à un humain de taper sur la barre "espace" avec une précision du millième de seconde.
Un faux hasard parce que tout est déterminé et que, quel que soit le nombre "tiré", votre partie d'échecs ne va pas devenir un jeu de PacMan : ce que change le nombre tiré est déterminé à l'avance.
Si Louis XVI avait marché sur une crotte de chien dans le parc de son château le 14 juillet 1789, cela n'aurait pas modifié l'agglomération de troupes contre-révolutionnaires étrangères contre le peuple parisien.
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PROPORTIONNALITÉ DES CAUSES ET DES EFFETS, CHAOS, ET CYCLES RÉPÉTÉS

Les partisans de la dernière goutte d'eau sont des imbéciles.
Si "elle fait déborder le vase", c'est au même titre que toutes les autres.
L'étincelle ne fait exploser que de la poudre, pas de la crotte de chien.
Les Crottoriciens du Chaos se prennent pour de grands découvreurs.
Ils ont redécouvert la TQQ pour les meilleurs, sans le dire, sans l'avouer (Thom est un pillard). Les autres font mumuse avec des pitreries.
Le papillon qui devait empêcher le cyclone Katerina est tombé à l'eau.
Pour ce coup-là (est-ce bien lui ?) Pascal avait raison : Les causes et les effets sont proportionnels.
Lorsqu'un avalanche se produit, la cause et les effets s'analysent en terme de Mécanique de base et de mécanique supérieure : Rien ne se perd, tout se transforme.
L'imbécile cahotique qui skie hors piste pour prouver qu'il déclenche des avalanches ne prouve rien :
il est le facteur ridicule.
Ces braves gens, valets serviles, veulent protéger la bourgeoisie putride par une bouillie idéelle : faire croire à la non proportionnalité des causes et des effets, faire croire à l'apparition hasardeuse des nouveautés, pour masquer l'inéluctabilité de sa faillite.
Les mêmes servent aussi la soupe de la "fin de l'Histoire", de l'"Histoire se répète" : La preuve - disent-ils - la Terre reste à tourner autour du Soleil (Soleil bien évidemment immobile) Combien d'ailleurs de "physiciens" connaissent la vitesse orbitale du Soleil ?
"La Terre revient au même endroit chaque année"
Qui a écrit cela ?
Est-ce Christian Magnan, professeur au Collège de France ?
A-t-il pu dire cela ?
Est-ce possible ?
Ou bien est-ce Germaine La Bête Tessier ?
De qui ce 2 là sont-ils au service ?
La seconde peut se vanter de ne pas avoir été nommée par un voleur.
Entre les partisans du cahot chaotique et ceux des cycles à l'infini, il y a l'épaisseur d'une feuille pelure. S'y niche l'esprit réincarné des bouddhistes : Tran Xinh Thuan, le méchant qui insulte Newton en profitant de la naïveté de G. Gleick, lui, vend sa camelote : Dieu existe parce que les fleurs sont belles.
Quels groupes sociaux payent de pareils crétins des sommes telles ?
"La Terre revient au même endroit"
"La bourgeoisie règne éternellement, sur les siècles des siècles, dans l'espace claustrophobique d'une poubelle surchauffée : la Terre".
Bien heureusement, la TQQ va balayer tous ces gens.
Bien heureusement, dans quelques centaines de milliards de kilomètres, dans un ou deux zigzags terrestres, l'accumulation du principe de pauvreté, du principe d'insupportabilité va fusionner avec le principe novateur (mal) porté par la classe innovoise et développé par la strate innovante. Et, comme en 1789, à l'échelle mondiale, on verra balayer les classes bourgeoises, on verra fermer les Bourses.
"La Terre revient au même endroit" se rassurent-ils !
Les cahotiques vous le diront alors :
"C'était imprévisible"
Ces ignares n'auront même pas remarqué qu'au 2900ième mensonge de Georges Bush II, propagé mondialement, en vue d'attaquer un peuple supplémentaire, la révolution anti-capitaliste mondiale se propagera.
Certes, je le concède, il se trouvera une partie de la "communauté" "scientifique" qui réussira à prouver, pliures à l'appui, que cette 2900ième inanité de Georges Bush II avait un caractère particulier qui la rendait précisément déterminante.
Et qui la rendait, à elle seule, responsable de cette mobilisation planétaire.
Une autre partie de la toujours "communauté" toujours "scientifique" ira prétendre que ce 2900ième mensonge était totalement imprévisible.
Un sous groupe déviant ira même prétendre que ce n'est pas tant le mensonge proféré pendant son allocution qui a créé cette hostilité déterminante contre Georges Bush II que l'éternuement qui l'a saisi au milieu de la phrase.
Je laisse de côté, à la fois ceux qui, à l'annonce de ces évènements se seront retiré dans un manoir bouddhiste, et à la fois les directeurs de thèse de l'UNIVERSITÉ ™ française qui annoncent que c'était écrit dans les astres dans la thèse de Germaine La Bête -Tessier.
Il est frappant de constater que les partisans du cahot et ceux du cycle répété pour l'éternel ont en commun de détester Laplace et Épicure, en l'avouant, de détester Newton (en le cachant) et de prier Saint Einstein, qui, grâce au refus de l'anisotropie, leur permet de continuer à faire leur petite tambouille "comme si" la Terre restait immobile. La seule question qui reste posée est celle-ci : La diffusion de masse des éléments de base pour une nouvelle science matérialiste précédera-t-elle la révolution sociale et la révolution civilisationnelle ?
Yanick Toutain
(2/1/2006 11h30)
Notes
Atomos : Les Grecs du 5° siècle ne connaissent pas les atomes du 19° siècle, péché d'orgueil de savants limités : les atomes "antiques" sont les briques élémentaires de la matière.
Quasiment du Lucrèce : Voilà le texte original : " Car partout où s’étend l’espace que nous appelons ; vide, point de matière ; et partout où se dresse un corps, impossible qu’il y ait un espace libre, vide. " La citation complète est ci-dessous.
Lucrèce: Titus Lucretius Carus vécut 43 ans de –98 à –55. Il fut le successeur du Grec Epicure. Lui-même continuateur du matérialiste grec de l’âge classique : Démocrite.
Toutes les citations sont extraites de " De Rerum Natura " (" De Natura Rerum " éd. Flammarion 1964 traduction de H. Clouard
"Concluons que si de deux corps égaux, l'un est plus léger, c'est qu'il contient plus de vide. Le plus lourd révèle clairement, qu'il renferme moins de vide avec plus de matière. Il existe donc bien, comme nous nous ingénions à le montrer, cet espace mêlé aux choses et que nous, nommons le vide. (p. 28)
"La nature entière, telle qu'elle est, a donc une double origine; elle comprend des corps et ce vide dans lequel ils se situent et se meuvent." (p. 29)
"Quant à l'espace que nous nommons vide, s'il n'existait pas, il n'y aurait pour les corps ni place ni moyen de mouvement, comme je viens de te le montrer.
En outre, il n'est rien dont tu puisses affirmer l'existence hors de toute espèce de corps, hors du vide, rien en quoi tu puisses t'imaginer avoir découvert comme une troisième manière d'être." (p. 30)
" " Les corps, ce sont d'une part les principes simples des choses, les atomes, et d'autres part les composés formés par ces éléments premiers. Pour ceux-ci, il n'est aucune force qui puisse les détruire; à toute atteinte leur solidité résiste. " (p. 31)
Tout d’abord, puisque nous avons découvert que la nature est double, composée de deux éléments essentiellement dissemblables, la matière et le vide où tout s’accomplit, il faut que chacun d’eux existe par lui-même, pur, sans mélange. Car partout où s’étend l’espace que nous appelons vide, point de matière ; et partout où se dresse un corps, impossible qu’il y ait un espace libre, vide. Les corps élémentaires sont donc de matière pleine ; ils n’admettent point le vide. " (p. 32)
Et le dernier – lumineux : " Au reste, si le vide n’existait pas, l’univers serait un solide parfait ; par contre, s’il n’y avait certains corps à occuper de l’espace, l’univers ne serait qu’un vide immense. C’est pourquoi matière et vide sont évidemment distincts et cependant entremêlés, puisque rien n’existe qui soit plein ou vide parfaitement. Il y a donc certains corps qui ont le pouvoir de faire alterner le plein avec l’espace libre. " (p. 32)
Epicure écrivait déjà : " Les nombreux éléments, depuis un temps infini, sous l'impulsion des chocs qu'ils reçoivent et de leur propre poids, s'assemblent de mille manières différentes et essayent toutes les combinaisons qu'ils peuvent former entre eux, si bien que par l'épreuve qu'ils font de tous les genres d'union et de mouvement, ils en arrivent à se grouper soudainement en des ensembles qui forment l'origine de ces grandes masses, la terre, la mer, le ciel, et les êtres vivants. " (extrait sur wikipédia)
Newton et la lumière : "Les corps grossiers et la lumière ne sont-ils pas mutuellement convertibles, et les corps ne peuvent-ils pas recevoir une grande partie de leur activité des particules de lumière qui entrent dans leur composition ?" Optiks, 374 cité par James Gleick 2005 "Isaac Newton" (Dunod)
De Broglie et la lumière : Les citations qui suivent sont extraites de la fin de l'article "La lumière dans le monde physique"
p. 75-76 "La lumière est la forme la plus subtile de la Matière (…) le rayonnement est susceptible de se condenser en matière et de créer de nouvelles particules (…) Tous ces faits prouvent bien que la Lumière et la Matière ne sont que des aspects divers de l'Energie qui peut prendre successivement l'une ou l'autre de ces deux apparences (…) "
La conclusion est la description du Big Bang tel que je le concevais avant de le lire, et par d'autres cheminements : explosion de l'agglomération de tous les photons de l'Univers :
p. 77 " Enfin, la Lumière vient de se révéler à nous comme susceptible de se condenser en Matière, tandis que la Matière est susceptible de s'évaporer en lumière.
Donnant libre cours à notre imagination, nous pourrions supposer qu'à l'origine des temps, au lendemain de quelque divin "Fiat Lux", la Lumière, d'abord seule au monde, a peu à peu engendré par condensation progressive l'Univers matériel tel que nous pouvons, grâce à elle, le contempler aujourd'hui. Et peut-être un jour, quand les temps s'achèveront, l'Univers retrouvant sa pureté originelle se dissoudra-t-il à nouveau en Lumière."
Extraits de "Physique et microphysique" Albin Michel 1947 [quand je trouve, au bouquiniste,[pour 5 euros] un livre d'un orthodoxe du début du 20° siècle, je sais que le reste d'honnêteté qui est la sienne, me permettra d'y trouver des faits et des grilles nous ramenant vers la science de Newton. Point n'est le cas de nos orthodoxes contemporains - malhonnêtes parasites sociaux.







 2006-1706=300 (années)
300*30 millions de secondes = 9 milliards de secondes (une année contient : 31 558 149.5 secondes)
qu'il faut multiplier par un nombre supérieur à 250 kilomètres [250 est la vitesse orbitale du Soleil dans la Voie Lactée]… nombre que je suppose provisoirement être assez proche de 5000 kilomètres par seconde [la vitesse du centre de la Galaxie Voie Lactée est évidemment bien supérieure à la vitesse orbitale des corps qui s'y trouvent]
Multiplier ce délai de 9 milliards de secondes par 5000 kilomètres donne un résultat égal à 45 000 milliards de kilomètres. C'est la distance que la Terre a probablement effectué depuis l'année 1706.
on remarque que 250 km par seconde est une vitesse de 250*3600 kilomètres à l'heure : 900 000 kilomètres à l'heure est la vitesse orbitale du Soleil dans la Galaxie … Faire l'hypothèse de 5000 kilomètres par seconde comme possible vitesse absolue de la Galaxie … erst égal à 5000*3600 = 18 millions de kilomètres à l'heure. Notre vitesse absolue voisine probablement ces 18 millions de kilomètres heure.