vendredi 16 avril 2010

Le miroir de Henri-François Defontaines-Jacques Merleau-Ponty-Philippe Frank

par Yanick Toutain


15/04/2010



ABSTRACT : UN MIROIR DANS UNE FUSÉE, UN LASER ET UNE MESURE DE L'ANGLE DE RÉCEPTION DONNENT LA VITESSE ABSOLUE DE LA FUSÉE
ABSTRACT : A MIRROR IN A ROCKET, A LASER, AND A MEASUREMENT OF THE ANGLE OF RECEPTION GIVE THE ABSOLUTE SPEED OF THE ROCKET


Dans votre dispositif (texte du 16 juin 2009) présenté sur le blog de Paul Jorion, on voit un miroir.
(C'est le dispositif pro-relativiste présenté par Philippe Frank* [1950] puis Jacques Merleau-Ponty* [1993])
On va le supposer embarqué à bord d'une fusée.
Cette fusée a une vitesse que l'on ignore.
OK.

Vous utilisez – semble-t-il – un rayon laser.
Ce rayon, dirigé vers le miroir va le heurter, rebondir et revenir plus loin.

Et les capteurs embarqués à bord de la fusée (on dira à l'avant de celle-ci) vont recevoir ce rayon laser.
Un rayon laser qui aura été émis depuis l'arrière de la fusée.

Il est curieux que vous ayez oté du graphique de Merleau-Ponty (et/ou) de Philippe Franck la partie réception : vous n'avez dessiné qu'un seul triangle rectangle.
Ce qui – pour le béotien – a du rendre difficile à comprendre cette expérience.

A quoi bon, en effet, utiliser un miroir si ce n'est pas pour que l'émetteur du rayon puisse le réceptionner plus loin ?
Cette étrangeté de votre graphique a du déclencher un signal inconscient et me remémorer une « découverte » à laquelle j'avais prêté attention voici quelques semaines : les récepteurs de lumière savent toujours d'où elle provient.
Ils connaissent toujours l'angle formé entre le rayon lumineux et le corps (surface, plaque etc...) qui reçoit ce signal.
En conséquence de quoi, l'angle lambda formé par la trajectoire de la fusée de le rayon laser est connu.
Plus grave encore (ou mieux, du point de vue matérialiste) pour la « cause relativiste », l'usage d'un rayon laser et la non dispersion de la lumière contraint l'émetteur du rayon à viser.
En effet, si l'angle lambda est trop petit, le rebond du rayon à partir du miroir aboutira trop en avant de la fusée.

Cela va être plus facilement compris par l'analyse numérique.
Votre segment St [vous l'appelez VeT ] (qui va du point d'émission du rayon jusqu'au point central de fixation du miroir) mesure, sur votre PDF 65 pixels.
Votre segment H [vous l'appelez CT'] qui relie le miroir à la paroi de la fusée mesure 109 pixels.

Je peux donc écrire
S*t / échelle = 65
et H / échelle = 109

Or H/ S*t = tangente lambda =1,68
(lambda étant l'angle du triangle rectangle, l'angle sous lequel le laser aurait été positionné par rapport à la paroi de la fusée ET par rapport à la course de celle-ci)
lambda radian est donc égal à 1,03 et
lambda = 59,19 (degrés)

Cela nous donne cosinus lambda et sinus lambda
cos (lambda) = 0,51
sin (lambda) = 0,86

On voit parfaitement sur le dessin que S/C = cos (lambda)
[ce serait Ve/C pour un dessin fait par un matérialiste]
En conséquence de quoi la vitesse de la fusée est connue, elle est égale à 51,28 % de la vitesse de la lumière.
J'aurais du mal à imaginer qu'un honnête homme, même relativiste puisse venir nier le fait que ce dessin est conforme à une réalité matérielle dans laquelle les rayons de lumière nous parviennent depuis la direction d'où ils ont été émis (ou de l'endroit d'où un choc les a dévié de leur course rectiligne précédente) !
J'aurais du mal à imaginer qu'un honnête relativiste puisse trouver une ruse pour nier le fait que le rayon perçu par le récepteur puisse provenir d'un autre endroit que de l'endroit du miroir où le rayon s'est reflété !
On a donc S = C * cos (lambda) = 153546692,81 m s-1
On va donner une valeur H = 10 (m) à la distance entre le miroir et son point de fixation sur la paroi de la fusée.
Ce H est probablement égal à la longueur de la règle dont vous semblez faire usage dans vos calculs.
Comme nous savions que S*t = H tangente (lambda)
Nous calculons S*t = 5,96 mètres
Connaissant S (calculé plus haut) , nous avons donc la valeur de t

t = S*t / S = 3,884 E-8 (s) (ou 38,84 milliardièmes de secondes)
On a donc C*t = 11, 64 (m)
Et l'on vérifie que 11,643066² = 10² + 5,963303² (en affichant les décimales occultées plus haut)
= = = = =
On a donc bel et bien utilisé la fonction gamma de Einstein En effet, sa valeur se calcule de la façon suivante
1 sur racine de 1 – v²/c²
Ce qui revient ici à calculer (en substituant cos lambda à v/c)
1 sur racine de (1 – cos lambda²)
ou encore, en utilisant la trigonométrie et le fait que sin²+cos²=1
1 sur racine de (sin lambda²)
1 sur sin lambda
Ce qui revient à dire que la valeur de gamma
est simplement le rapport entre la distance du miroir et le trajet réel du photon
et donc gamma = C t / H = 1 / sin(lambda)
= = = =
Mais cela a été fait dans un sens et avec une signification totalement différente. Une signification matérialiste.
En effet le dispositif prévu donne – d'après les relativistes – la preuve de l'invariance de la « vitesse de la lumière », du ralentissement du temps t / gamma.
Ce qui revient ici à diviser le temps mis par la lumière pour atteindre le miroir par sinus lambda.
Et de considérer que ce « temps divisé » aurait un sens physique.
Pour nous matérialistes, diviser t = 3,884 E-8 (s) par (1/sinus lambda) n'a strictement aucun sens du point de vue de l'écoulement réel du temps.
En effet t / gamma = t * sin(lambda) n'est rien d'autre que
(avec sin (lambda) = H / (C*t)
de trouver le résultat de
t * ( H / C*t) = H / C
Mais, puisque tout bouge, puisque la fusée est en mouvement, et que, depuis Héraclite, nul être censé sur Terre ne peut imaginer être immobile (à part Ptolémée, l'évêque Berkeley, le cardinal Bellarmin, Albert Einstein et la clique relativiste qui nous parle encore au 21° siècle d' « étoiles fixes)..... quel sens cela peut-il avoir de diviser H par C ?
Un seul !!!
Celui de prétendre que la lumière se comporterait à l'intérieur de la fusée comme si elle était immobile, comme si la trajectoire de cette fusée n'avait aucun effet sur la mesure de son déplacement à l'intérieur de celle-ci.
Comme si, la vitesse de la fusée était en mesure de transmettre à la lumière une INERTIE similaire à celle que la main de Einstein transmet au caillou qu'il lâche depuis le train du chapitre 3 de son « La Relativité ».
Car, en fin de compte, ce qui aboutit à tout ce salmigondis, c'est le fait qu'un sinus cacherait une fonction magique alors même que …. n'importe quel expérimentateur sérieux comprendrait que l'aller-retour d'un photon dans une fusée lancée à C/20 ne pourrait en aucun cas rester PERPENDICULAIRE au miroir.
Les relativistes, depuis 1911 et Langevin, depuis 1919 et Eddington, depuis 1971 et les pendules détraquées embarquées dans les avions, disposer de preuves.
Les seules preuves dont nous disposons sont les preuves de leurs mensonges et de leur capacité à bluffer sans scrupule.
Langevin, en 1911 délirait complètement : il n'avait aucune preuve. Eddington a truqué ses résultats en laissant de côté les photos prises au Brésil et une partie des photos africaines. Quant aux horloges détraquées, elles le sont moins que les gogos qui croient encore à ces balivernes quand les résultats bruts sont facilement consultables sur Internet pour quiconque lit l'anglais.
Les preuves de la Relativité sont les preuves que les escrocs accumulent depuis un siècle. Les preuves de leur imposture.


J'espère, Henri-François Defontaines que la lecture de ces trois textes vous amènera à vous éloigner de ces charlatans, d'abord, pour ensuite, participer au combat en faveur du matérialisme, au combat en faveur de la science, au combat en faveur de la réhabilitation de Isaac Newton et de ses véritables thèses, au combat et aux travaux pour la recherche de notre véritable vitesse absolues. Notre vitesse objective.






*le miroir de Philippe Frank : il appelle k ou K la fonction gamma.
*Le miroir de Jacques Merleau-Ponty : dans sa note 8 qui suit la note 7 du miroir, on trouve un angle phi. Mais il fait un salmigondis à partir de là. Il appelle bêta ce que les relativistes appellent gamma. Bêta est ordinairement v/c et gamma vaut donc 1/ racine de 1 moins bêta².
Lui, il écrit : v' = bêta v ( 1 - ( v/V ) cos phi ) après avoir écrit plus haut que bêta = 1 / racine de (1 – v² / c² )

mercredi 14 avril 2010

WALTER LANCE UN MIROIR HORLOGE SAM (Comment connaître notre vitesse absolue ! Comment connaître le ralentissement visuel des horloges lointaines ! Comment comprendre le crétinisme des charlatans prosélytes relativistes !)

par Yanick Toutain
12/04/2010
16:45




ABSTRACT : UNE FUSÉE ayant une horloge à bord, UN CANOT-MIROIR muni d'une horloge. Et la relativité s'écroule comme une imposture bâtie par des charlatans.



Walter est à bord de sa fusée.
Il veut connaître quelle est sa vitesse absolue. Il l'appelle W



L'EXPÉRIENCE



Pour ce faire il lance un canot-fusée-miroir-horloge vers l'arrière.
(L'accélération de ce miroir-horloge piloté par Sam est prise – dans le garage - à l'intérieur de la grande fusée de Walter. Et la vitesse de Sam
(S) est donc constante dès le début de l'expérience). Il va simplement lancer un flash puis recueillir l'image de ce flash et les images concomitantes.
LES DONNÉES RECUEILLIES
À H0, l'expérience commence : lancer (depuis la fusée Walter) du miroir-horloge Sam.
À H1=24, Walter émet un flash. Ce flash comporte l'image de sa propre horloge géante.
À H3=36 ,
a) Walter consulte son horloge à bord. Son horloge affiche H2 = 27.
b) Il voit arriver l'image-retour de son horloge (il voit tout simplement l'image de sa propre horloge géante dans le miroir du canot miroir horloge Sam. C'est le reflet de son image)
Cette image affiche H1 = 24
c) En même temps, il voit aussi l'horloge du canot Sam qui affiche sa propre heure : H2 = 27.

A partir de ces trois données, Walter va pouvoir calculer sa vitesse absolue (W), la vitesse absolue de Sam (S) et la vitesse relative de Sam par rapport à lui (D) . (D qui est la distesse de Sam pour Walter [la distesse est la variation de distance entre deux corps par unité de temps, une pseudo-vitesse])
LES CALCULS DES VITESSES ABSOLUES
Préalable.
Pour simplifier les calculs, on va extraire les valeurs o, p, t et k à partir de H1, H2 et H3.
On a donc
p = H1,
p = 24

o = H3 – H1 = 36 – 24
o = 12

t= H2 – H1 = 27 – 24
t = 3

k= H3-H2 = 36 – 27
k= 9

on a évidemment o = t + k
LES FORMULES (3 résultats à partir de 3 données)
W = C * ( k – t ) / (k + t ) (avec C = 300 (Mm) C ) étant la vitesse de la lumière dans le vide. (à 0,3 Mm près) W = C * ( 9 – 3 ) / (9 + 3 ) W = C * 6 / 12 = C * ½
W = 150 (Mm/s)
Avec 2 nombres (k et t) obtenus à partir de 3 données (H1, H2, H3) Walter connait sa vitesse absolue. Elle est égale – dans notre cas - à la moitié de la vitesse de la lumière.
Il peut aussi connaître la vitesse absolue de Sam dans le canot-miroir-horloge :
S = C * ( p * (k – t ) / (k + t ) - t ) / ( p + t) S = C * ( 24 * (9 – 3 ) / (9 + 3 ) - 3 ) / ( 24 + 3) = 300 * ( 24 * (6 ) / (12 ) - 3 ) / ( 27) S = 300 * (12 – 3) /27 = 300 /3
S = 100 (Mm/s)
Et enfin
D = W - S = 50 (Mm/s)
LA DÉMONSTRATION COMPLÈTE


H0 = 0 La fusée Walter lance – vers l'arrière – un miroir-pendule dans un canot piloté par Sam.
Walter avançait à une vitesse W = 150 (Mm/s)
Le miroir Sam lâché a une distesse
D = 50 (Mm/s)
et a donc une vitesseS = 100 (Mm/s)
[Naturellement pour ne pas avoir à accélérer – ce qui fausserait toute l'expérience), le miroir Sam a pris son élan à l'intérieur de la fusée de Walter et conservera ensuite une vitesse S = 100 tout au long de l'expérience.]
Il s'écoule 24 secondes.
+ + + + + + + + + + + + + + + + + +
H1 = 24 (p = 24)
Walter a parcouru
W * p = 150 * 24 = 3600 Mm
Sam qui a une vitesse plus faible, a parcouru
S * p = 100 * 24 = 2400 Mm
L'écart objectif entre les deux est donc de
D * p = 50 * 24 = 1200 Mm
S0<-----------Sp=2400------>S1
W0<------------------Wp=3600----------->W1
A l'instant H1, Walter émet un flash. Ce flash est une image de l'horloge de Walter.
Cette image-horloge indique H1 = 24.
Elle va quitter la fusée de Walter et voyager en direction du miroir-horloge de Sam.
La vitesse de l'image est C = 300 (Mm)

Il s'écoule 3 secondes
+ + + + + + + + + + + + + + + + + +
H2 = 27 (t = 3 )
Sam, pendant ces 3 secondes, a parcouru un trajet
S * t = 100 * 3 = 300 Mm
Un trajet en direction de l'image.
Celle-ci, en direction de Sam, a parcouru
C * t = 300 * 3 = 900 Mm

S0<------S*p=2400------>S1S2<---C*t--->W1
W0<---------------------W*p=3600--------------->W1
On remarque que l'horloge de Sam affiche H2=27 tandis que l'image-horloge de Walter (au même lieu) affiche H1=24.
Il y a un écart t = 3.
Cet écart est égal à la durée du voyage de l'image de Walter vers Sam.
Sam émet donc, lui aussi, un flash. Ce flash correspond au départ vers Walter des deux images.
=== > l'image de l'horloge du miroir de Sam (H2=27)
===> l'image de l'horloge de Walter (H1= 24) [image qui s'est reflétée dans le miroir]
[dans la réalité, le flash donné par Sam est inutile. Dans notre exemple, il matérialise pédagogiquement l'instant où les photons images rebondissent sur le miroir.]
Il va s'écouler 9 secondes supplémentaires.
+ + + + + + + + + + + + + + + + + +
H3 = 36 k=9
Walter, pendant le délai t du voyage de l'image de son horloge vers Sam avait continué son trajet.
W * t = 150 * 34 = 450 Mm
[Il se trouvait donc à une distance de Sam égale à ( C + W) * t = (300+150) * 3 = 1350 Mm ]
Walter a donc parcouru, (pendant le trajet retour de l'image de son horloge)
W * k = 150 * 9 = 1350 Mm (attention ! Ces deux nombres 1350 ne correspondent pas aux mêmes données !!! Leur égalité est insignifiante)
S0<------S*p=2400------>S1S2<---C*t--->W1
W0<---------------------W*p=3600------------>W1<-W*p->W2<-----Wk--->W3
S0<------S*p=2400------>S1S2<--------------C*k=2700--------------->W3
Lorsque Walter reçoit les deux images affichant H1=24 et H2=27, sa propre horloge en (quasi) direct affiche H3=36.
Il voit entre l'heure H2 et l'heure H3 une différence H3-H2 = 9.
C'est le délai du voyage de l'image du miroir horloge depuis le canot Sam jusqu'à la fusée Walter.
TOUT RECONSTRUIRE : LES SYSTEMES D'EQUATIONS


On a donc deux équations qui permettent de tout reconstruire
S*p + S*t + C*t = W*p (1)

La longueur du trajet de Sam jusqu'au point de rencontre avec l'image de Walter est égale au trajet de Walter moins le trajet de l'image de celui-ci vers Sam.
On trouve donc que

t = p * (W – S) / (C + S) (1b)
L'autre équation indique que la longueur du trajet parcouru par l'image de l'horloge Sam jusqu'à Walter est égale à la somme du trajet de la première image et de la distance parcourue par Walter depuis son émission.
C*k = C * t + W * t + W * k (2)
et donc
k = t * ( (C + W ) / ( C – W ) (2b)
LES FORMULES DES VITESSES
Il est facile – par substitutions successives - de calculer enfin les formules permettant de connaître les vitesses absolues de deux corps et leur distesse réciproque.
W = C * ( k – t ) / (k + t ) (3)
S = C * ( p * (k – t ) / (k + t ) - t ) / ( p + t) (4)
LE TEMPS QUE LES CRETINS RELATIVISTES CROIENT VOIR RALENTIR
si o = t + k (3)
o étant le temps que Walter doit attendre pour voir revenir l'image du 1° flash qu'il a émis, on a
o = t + t * ( (C + W ) / ( C – W ) = t * 2 C / ( C – W )
On peut donc comparer le fonctionnement des horloges et de leurs images
ral1= H3 / H1 = (p+t+k) / p = ( (C+W) * ( C - S ) ) / ( (C-W) * ( C + S ) )
C'est le rapport entre l'heure affichée H1 dans le miroir et celle que Walter observe dans sa fusée.
Walter voit H3 = 36 et H1 = 24

ral1 = 36/24= 3/2
La comparaison de sa pendule avec l'image de sa propre pendule dans le miroir de Sam annihile la prétention des relativistes à nier la réalité.
Le cosmonaute Walter ne va pas croire que sa pendule ralentit parce que l'image de celle-ci indique une heure en retard. Le fait que l'image qu'il voit donne une heure en retard est lié au fait qu'il la voit dans un miroir.
Quand les relativistes viennent nous casser les oreilles avec leurs prétendus jumeaux (qui n'étaient même pas des jumeaux dans le véritable texte Langevin de 1911 pour la réunion d'imposteurs de Bologne), ils ont pour projet de nier l'objectivité de la réalité. Ils nous font passer des images pour le réel. Ils délirent en truquant les textes : quand le texte de Einstein 1905 parlait de trajet rectiligne, ils le font revenir. Ce qui perd toute espèce de logique.
C'est la raison pour laquelle, la comparaison d'une image de pendule (provenant d'un miroir n'ayant pas la même vitesse) est un missile intelligent adressé à la face barbare des crétins relativistes.
Le fait que le ralentissement visuel de l'image de la pendule dans le miroir soit lié aux vitesses absolues de Walter et de Sam est quelque chose qui est inaccessible au cerveau bornée et crypto idéaliste des autistes einsteinistes.
On va calculer, de même, que
ral2 = H3 / H2 = (p + t + k ) / ( p + t ) = (C- S) / ( C – W)
C'est le rapport entre l'heure H2 qui est l'heure donnée par l'horloge du miroir (l'horloge de Sam à bord de son canot) et l'heure immédiate que Walter voit sur sa propre pendule.
Ral2 = H3/H2 = 36/27 = 4/3
C'est ce type de ralentissement apparent d'une horloge lointaine qui fait prétendre aux charlatans relativistes qu'il serait possible de ralentir le temps.
C'est ce « ralentissement apparent », cette IMAGE RETARDEE qui fait croire (le croient-ils ou en font-ils commerce incrédules ?) que le temps ne s'écoulerait pas régulièrement dans tout l'univers. Quelles que soient les défectuosités des instruments de mesures ou le retard du au temps de voyage des images qui nous parviennent.
On peut calculer le fait que
ral1/ ral2 = (C+W) / (C+S)
La comparaison du pseudo-ralentissement de la pendule image dans le miroir et de la pendule attachée au miroir nous montre que cette fraction est proportionnelle à la somme des vitesses absolues des deux corps avec la vitesse de la lumière.
On peut même trouver une formule dans laquelle la vitesse du canot-miroir a disparu.
En effet, il est possible de démontrer facilement que le rapport k/t est donné uniquement par la vitesse de Walter
k / t = ( C + W ) / ( C – W )
k / t = 9 / 3 = 3
( C + W ) / ( C – W ) = ( 300 + 150 ) / ( 300 – 150) = 450 / 150 = 3
C'est cette proportionnalité qui a été utilisé dans le début de ce texte pour calculer W la vitesse de Walter.
Mais, tout cela dépasse l'entendement des escrocs relativistes.



Nul doute qu'ils resterons silencieux. Ils furent alliés à Staline à l'Est et à toutes les espèces de fascistes à l'Ouest. Ils sont donc habitués à passer du « ferme ta gueule ! » - lorsqu'ils parviennent à prendre le contrôle des sites pseudo-« scientifiques » - au « cause toujours ! » traditionnel des bourgeoisies « libérales ». Un « cause toujours » en attendant que les actualités suivantes aient enfoui sous des tonnes de débats, de pages web ou de papier-journal les faibles et rares expression du matérialisme, de la révolisation, de l'honnêteté, de l'intelligence, de la lucidité.
Mais le développement d'Internet sera le tombeau de leurs impostures. Ces escrocs raseront bientôt les murs face à la colère des peuples qu'ils auront berné pendant plus de 100 ans.




COMMENT CONNAÎTRE NOTRE VITESSE ABSOLUE ? Une méthode simplissime pour comprendre et pour calculer ce que sont les vitesses objectives qui sont la base de l'enseignement de Isaac Newton.


Par Yanick Toutain
22/03/2010 20:51

ABSTRACT : Simple method to calculate the absolute speeds of two bodies in motion.
RÉSUMÉ : Une méthode simple pour calculer les vitesses absolues de deux corps en mouvement


Avertissement :
Contrairement aux mensonges et à toutes les élucubrations répandues à longueur de pages de livres, de sites internet, de propagande « professorale » de « clowns titrés professeurs », il existe des moyens très simples de connaître notre vitesse absolue.


Exposé : Soit deux corps S et W. Ces deux corps sont en mouvement. Chacun est capable de déterminer la pseudo-vitesse de l'autre, sa vitesse apparente. Naturellement, ils se suivent et n'ont aucune accélération. Cette absence d'accélération est facilement détectable par l'absence de gravité locale apparente.
Pour connaître les deux pseudo-vitesses apparentes, n'importe quelle méthode peut être utilisée.
Citons pour mémoire

  • variation des diamètres visibles des deux corps (ou de deux sphères de référence – aux diamètres connus - placées sur le corps de l'autre)
  • calcul du décalage vers le rouge des couleurs du corps observé.
  • utilisation de flashs lumineux émis à intervalles réguliers et reçus avec des périodes de réceptions différentes des périodes d'émission.
  • Etc... etc...
Deux astronautes en déplacement seront – pour les siècles qui viennent – parfaitement capables de déterminer quelles sont leurs vitesses absolues par ce moyen simplissime.
Ou encore, une fusée unique n'aura qu'à lancer un corps devant (ou derrière) elle – une sorte de « canot  de sauvetage» ayant la fonctionnalité des nœuds des marins d'autrefois, un « canot » qui, après stabilisation initiale et interruption de son accélération, pourra émettre un signal en direction de la fusée et recevoir le signal émis par la fusée. Les variations de couleur (redshift) servant de preuve redondante de ces pseudo-vitesses obtenues.

Considérons donc que la fusée soit appelée « Walter ». Et qu'elle lance son canot de sauvetage « Sam » vers l'arrière.
La fusée mesurera, pour Sam, une pseudo-vitesse apparente égale à m.
On a donc

m = pseudo-vitesse apparente de Sam pour Walter
De la même façon, le canot de sauvetage Sam, mesurera une pseudo-vitesse apparente de Walter. On l'appellera l
l = pseudo-vitesse apparente de Walter pour Sam
Il faut, tout de suite remarquer que
m > l
Si tel n'était pas le cas, cela indiquerait le fait que la fusée ….. avançait vers l'arrière !!!
CALCULS DE NOS VITESSES ABSOLUES
Nous allons simplement utiliser deux formules qui vont nous donner les vitesses absolues des deux corps. Dans l'équation n'apparaissent que les deux données et la vitesse de la lumière. Cette dernière est indiquée par un « C » majuscule en lettre cursive.
W =C *( C * ( m – l )+l *m )/( C * ( m + l ) - l *m)
Nous venons de calculer la vitesse absolue de Walter.
Cette vitesse, quoi qu'elle ait été obtenue par la mesure faite depuis la fusée et le canot de sauvetage, est, malgré cela, une VITESSE ABSOLUE, une vitesse « en soi », une vitesse par rapport au vide.

De la même façon, nous pouvons connaître la vitesse du canot, la vitesse de Sam.
S =C *( C * ( m – l )- l *m )/( C * ( m + l ) - l *m)



Il est à remarquer que la deuxième formule ne diffère de la première que par un seul symbole : le signe « + » utilisé sur le numérateur de la fraction pour calculer la vitesse absolue de Walter est devenu « - » pour calculer la vitesse absolue de Sam.
On remarquera, par ailleurs que
S < W
En effet, la vitesse absolue de Walter la fusée est plus grande que la vitesse absolue de Sam, le canot de sauvetage.
C'est d'ailleurs ce fait essentiel qui permet de fonder cette expérience qui est plus qu'une simple expérience, qui est une modalité de connaissance du réel.
DISSYMÉTRIE DES TRAJECTOIRES PAR RAPPORT AUX TRAJECTOIRES DES SIGNAUX
C'est en effet, le fait que lorsque deux corps émettent un signal – quel que soient leurs directions respectives – il y aura toujours (sauf rarissimes trajectoires parfaitement parallèles) un des deux corps qui va à rencontre du signal de l'autre et l'autre corps qui fuit le signal émis par son collègue.
C'est précisément parce que Walter fuit le signal émis par Sam que le trajet du signal provenant de Sam devra être augmenté de la longueur du trajet supplémentaire parcouru par Walter.
Tandis que c'est le fait que Sam aille à la rencontre du signal émis par Walter qui réduit la longueur du parcours de ce signal d'une distance égale à celle que Sam aura parcouru pendant le trajet.
DES RELATIVISTES AVEC UN POINT AVEUGLE
La raison pour laquelle les orthodoxes relativistes sont restés aveugles à un tel calcul pendant un siècle est très simple à comprendre.
Ces charlatans confondent constamment la réalité et leur perception de la réalité. Pire encore, ils considèrent – comme Lénine le dénonçait déjà dans les textes de Mach, de Poincaré et des autres « clowns titrés professeurs » – comme de la « métaphysique » l'existence de la réalité en soi, l'existence de l'univers indépendamment de nos perceptions. L'acharnement stupide de Einstein à nier l'existence de nos vitesses absolues sans qu'il se soit jamais donné la peine de tenter de contredire rationnellement Newton provient de là. (Il y aura, après la lecture de ce texte, des acharnés pour aller prétendre que le fait d'aller vers un signal ou de le fuir serait dépourvu de signification; de conséquences. Ces irrécupérables sont bons pour la retraite définitive !!! Ils sont la cohorte démarquée par Max Planck.)
C'est cet autisme relativiste qui leur fait appeler « vitesse » ce qui n'en n'est absolument pas.
Quand, après un délai « t », Walter reçoit un signal ayant parcouru – pendant un délai q - une distance égale à c * q, les relativistes effectuent la division c * q / t et appellent ce résultat « vitesse » de Sam pour Walter.
m = C *q / t
C'est ce que nous avons appelé « m », en tant que pseudo-vitesse de Sam pour Walter.
De la même façon,, la trajectoire de durée j effectuée par le signal provenant de Walter en direction de Sam est pour nous
l = C *j / d
C'est la pseudo-vitesse de Walter pour Sam. Obtenue par Sam en attendant pendant un délai d que l'image du flash émis par Walter lui parvienne (cf le texte complémentaire)
Et la clé des deux formules « magiques » données ci-dessus, se trouve dans l'étude matérialiste de la réalité. C'est, en effet, l'étude de la réalité en considérant les vitesses absolues, les vitesses objectives des deux corps comme le point de départ qui nous ont donné ces deux formules magiques.
C'est en effet à partir de W et de S que nous avons calculé – conceptuellement – les valeurs de m et de l.
m = C * (W - S) / ( C - S )
l = C * (W - S) / ( C + W )
On remarque, ici, que les valeurs de S et de W apparaissent dans ces deux équations comme opposées l'une à l'autre. S est utilisé sous une forme négative car le signal va en direction de Sam, tandis que Walter qui fuit le signal voit la valeur de sa vitesse absolue apparaître de façon positive avec le signe. « + »
Le lecteur qui souhaitera avoir les renseignements complémentaires sur les étapes premières de façon détaillée trouvera ses réponses dans l'autre texte (qui n'est qu'une version remixée de l'ancien texte « cours de science objective » déposé sur USENET en 2007)


Ce texte majeur est une RE-publication du texte de révolisation actu


LUNDI 22 MARS 2010



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LUNDI 22 MARS 2010



SAMEDI 20 MARS 2010







VENDREDI 19 MARS 2010

Relativité, Einstein, Newton, Wikipédia, sources, pertinence, cohérence : une lettre publique à claudeh5