une réédition du texte du 8 mai 2007.
On y trouve l'équation révolisationnaire* qui explique l'origine de celle que Isaac Newton découvrit : La division de la masse par le carré du rayon était proportionnelle à l'accélération gravitationnelle parce que ce résultat était lui-même directement proportionnel à la quantité de photon reçu au mètre carré (perpendiculaire) par chaque planète du système solaire.
La présence de la "masse" du Soleil était une erreur d'interprétation : le facteur causal était uniquement l'énergie des photons solaires venant percuter les planètes.
La constante Kdvia suffit à calculer les déviations des planètes.
Il faut poursuivre la recherche par deux études.
1° L'usage de cette formule avec les satellites.(gravitation hélio-planétaro-satellitaires)
2° L'usage de cette formule (et d'une formule complémentaire) pour la surface des planètes et autres corps célestes.(gravitation locale de surface)
* sur l'usage du mot "révolisation" appliqué à la physique et à l'astrophysique, la raison est simple : la translation des soleils transforme en zigzags les trajectoires (en apparence circulaire) des planètes. On appelera "révolisation écliptique" la trajectoire en zigzags des Mars, Terre etc, et "révolisation galactique" celle de notre Soleil et des autres étoiles).
la raison est de marquer qu'il ne s'agit en aucun cas ni d'une ellipse, ni d'un cercle : Nous ne revenons JAMAIS au même LIEU de l'espace.
L'acception qui est utilisée ci-dessus est, elle, épistémologique. Si Isaac Newton participa à une REVOLUTION QUANTIQUE, il s'agit maintenant d'opérer une "SUPER-REVOLUTION SCIENTIFIQUE" d'une productivité historique égale à celle des Democritos et Puthagoras.
Ce sont 2500 années d'imposture aristotélicienne qu'il faut faire cesser.
On y trouve l'équation révolisationnaire* qui explique l'origine de celle que Isaac Newton découvrit : La division de la masse par le carré du rayon était proportionnelle à l'accélération gravitationnelle parce que ce résultat était lui-même directement proportionnel à la quantité de photon reçu au mètre carré (perpendiculaire) par chaque planète du système solaire.
La présence de la "masse" du Soleil était une erreur d'interprétation : le facteur causal était uniquement l'énergie des photons solaires venant percuter les planètes.
La constante Kdvia suffit à calculer les déviations des planètes.
Il faut poursuivre la recherche par deux études.
1° L'usage de cette formule avec les satellites.(gravitation hélio-planétaro-satellitaires)
2° L'usage de cette formule (et d'une formule complémentaire) pour la surface des planètes et autres corps célestes.(gravitation locale de surface)
* sur l'usage du mot "révolisation" appliqué à la physique et à l'astrophysique, la raison est simple : la translation des soleils transforme en zigzags les trajectoires (en apparence circulaire) des planètes. On appelera "révolisation écliptique" la trajectoire en zigzags des Mars, Terre etc, et "révolisation galactique" celle de notre Soleil et des autres étoiles).
la raison est de marquer qu'il ne s'agit en aucun cas ni d'une ellipse, ni d'un cercle : Nous ne revenons JAMAIS au même LIEU de l'espace.
L'acception qui est utilisée ci-dessus est, elle, épistémologique. Si Isaac Newton participa à une REVOLUTION QUANTIQUE, il s'agit maintenant d'opérer une "SUPER-REVOLUTION SCIENTIFIQUE" d'une productivité historique égale à celle des Democritos et Puthagoras.
Ce sont 2500 années d'imposture aristotélicienne qu'il faut faire cesser.
Yanick Toutain
31/3/2011
31/3/2011
Un texte du site de "La Nouvelle Étincelle" : | |
LA VÉRITABLE ÉQUATION DE LA GRAVITATION HÉLIO-PLANÉTAIRE
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Par Yanick Toutain
08/05/07 17:15 - 09/05/07 01:350
2 errata 6/07/07 18:35
mardi 8 mai 2007
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PRÉAMBULE:
Isaac Newton avait bien insisté : "Hypotheses non fingo", je ne feins pas d'hypothèses.
Il s'était bien gardé de donner une cause à la gravitation
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Hélios = soleil
Hélioplanétaire = qui concerne le Soleil et les planètes, qui concerne les relations entre le Soleil et les planètes
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"J'ai expliqué les phénomènes des cieux et de nos mers par la force de gravité, mais je n'ai pas encore attribué de cause à la gravité. [...] Je n'ai pas encore réussi à déduire [...] les raisons expliquant les propriétés de la gravité, et je ne feins pas d'hypothèses. Car tout ce qui ne se déduit pas des phénomènes s'appelle nécessairement une hypothèse; et les hypothèses, qu'elles soient métaphysiques, physiques, fondées sur des qualités occultés, ou mécaniques, n'ont pas leur place dans la philosophie expérimentale. 32
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Citation Gleick
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Pourtant, les deux lacunes, les deux thèses qui manquent à la grille conceptuelle, il les avait déjà avancées : la lumière en tant que photon et le photon en tant que brique.
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LA LUMIÈRE EN TANT QUE PHOTON
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Contrairement aux rumeurs distillées par les relativistes, pour Isaac Newton l'hypothèse de la lumière comparable au son, l'hypothèse d'une onde dans un improbable éther, était rapidement devenu une absurdité. Il était totalement convaincu que la lumière était formée de "de très petits corps émis par des substances brillantes".
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LE PHOTON EN TANT QUE BRIQUE
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Mais, cette réflexion n'était pas restée à cette étape. Isaac Newton avait formulé aussi l'hypothèse selon laquelle l'atomos, la brique de base de la matière pourrait être les grains de lumière eux-mêmes :
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"Les corps grossiers et la lumière ne sont-ils pas mutuellement convertibles, et les corps ne peuvent-ils pas recevoir une grande part de leur activité des particules de lumière qui entrent dans leur composition ?"
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Opticks 374
Citation de J. Gleick
p. 190
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LES LACUNES DES PRINCIPIA
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Il est fort probable que Newton, victime de la haine des antimatérialistes - le haineux voleur Leibniz en tête - a voulu se limiter à ce qui ne pouvait être remis en question : On voit, encore au 21 ° siècle, la clique des crétins tolérer, de leurs pairs, les pires âneries : matière sombre invisible et inconnue, "trous" qu'ils soient noirs ou "de ver", dimension outrepassant les 4 dimensions connues, mondes parallèles... et hurler à la sorcellerie chaque fois que quelqu'un formule une hypothèse de bon sens qui vient choquer leurs croyances monnayées.
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Il manque donc le délai du signal et le fait que la gravité est un phénomène de photons à photons
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LE DÉLAI DU SIGNAL
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C'est du vivant de Newton que les premières approximations de la vitesse de la lumière furent annoncées par Römer. 1665 précède de 22 ans la publication des Principes mathématiques de la philosophie naturelle.
Il est étonnant que Newton n'ait pas compris que l'aphélie, la "distance maximale" à laquelle nous voyons le Soleil, au début de juillet n'est pas une distance, mais uniquement la longueur du trajet parcouru par la lumière pour nous parvenir.
Certes, Newton considérait le Soleil comme immobile dans l'espace absolu, mais ce qui pourrait être négligeable pour le lien Soleil Terre ne l'est plus pour la façon dont nous voyons Mars.
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Isaac Newton avait 22 ans.
Römer annonça 240 000 kilomètres par seconde.
80 % de la véritable vitesse.
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En effet, lorsque nous voyons Mars à tel ou tel endroit, il est évident pour tous les enfants du 21° siècle que Mars ne se trouve plus à cet endroit. Comme l'image de Mars que nous voyons a voyagé pendant un délai de plusieurs centaines de secondes, à l'instant où cette image parvient à nos yeux ou dans l'objectif de l'appareil photo, la planète Mars se trouve à droite ou à gauche de l'endroit où nous la voyons.
Cela, Newton aurait été en mesure de le comprendre et de la prendre en compte dans ses analyses (quand bien même il aurait persisté à considérer le Soleil comme immobile)
Il me semble probable que dans les archives de Newton doivent se trouver des pages où cette hypothèse pourrait se trouver à l'état de brouillon.
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Aux enfants du 21° siècle :
Sachez que la TOTALITÉ des crétins diplômés (ingénieurs professeurs etc..) s'exprimant dans fr.sci.physique ou dans fr.sci.astrophysique ne comprenaient toujours pas ça en mai 2007.
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GRAVITÉ DE PHOTONS à PHOTONS
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La compréhension de ce que la matière est formée de briques photons a une conséquence tout aussi fondamentale que la précédente : Il ne peut rien exister d'autre que les photons. En conséquence de quoi, la lumière est le principe actif de la gravitation; et ce principe actif s'exerce sur des corps qui ne sont rien d'autres que des photons agglomérés.
La gravitation n'est donc que la conséquence du choc des photons (sous forme lumière, isolés) sur d'autres photons (agglomérés, sous forme matière).
La gravitation est donc, simplement la modification de la trajectoire de corps formés de photons agglomérés, heurtés par des "photons isolés".
Ce sont ces modifications de trajectoires qui apparaissent soit sous la forme "attraction" soit sous la forme "répulsion"
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OBJECTIF DE CE TEXTE | |
L'objet, limité, de ce texte va consister à transformer les équations de Kepler et de Newton concernant la gravitation et les mouvements de planètes pour leur donner une forme matérialiste compatible avec les deux ajouts précédents aux thèses d'Isaac Newton.
Il n'est pas besoin d'ajouter que toutes les autres thèses - sous la réserve de prendre en compte ce qui précède - sont réputées véridiques, à commencer par les notions d'espace absolu, temps absolu, lieu absolu, mouvement absolu et vitesses absolues. La seule modification consistera à remplacer le mot absolu par le mot objectif qui clarifie davantage les concepts.
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* * *
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CONSTANTE DE DÉVIATION HÉLIOPLANÉTAIRE
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La constante de déviation gravitationnelle hélioplanétaire est égale à
Kdevia = 2,17004 10-6
| m 3 s -1 J -1 |
Sa signification : Toute planète recevant une énergie locale, Eloc, en provenance du Soleil, aura sa trajectoire déviée d'une quantité égale à :
Eloc * Kdevia
| Eloc en J s -1 m -2 Eloc calculée sur un plan perpendiculaire à la direction des photons depuis le Soleil jusqu'à la planète |
Cette quantité a les dimensions d'une accélération (mètres par secondes²) mais correspond simplement à la quantité de déviation (en direction du Soleil) de la trajectoire de la planète. | m s -2 |
Son usage est strictement identique à celui d'Isaac Newton concernant l'accélération gravitationnelle. | |
Le vecteur vitesse est diminué d'une quantité égale à Eloc*Kdevia*unitédetemps | |
Pour une valeur Eloc = 1367 Il suffit de multiplier 1367 par Kdevia Soit 1367 * 2,17004 10-6 = Et l'on trouve 0.002966448 Ce résultat indique que la trajectoire de la Terre est déviée de 2.97 millimètres par seconde | J s -1 m -2 m s -2 |
Naturellement, lorsque, début juillet, la Terre devant le Soleil, se trouve au point d'aphélie, l'énergie reçue du Soleil est plus faible : seulement 1321.67 joules par m² par seconde. Et donc, la déviation est plus faible : seulement 0.0028681 La déviation est de 2.86 millimètres par seconde. Alors que, 6 mois plus tard, le 2 ou 3 janvier, au point de périhélie, la Terre - derrière le Soleil - reçoit 1413.086 joules (7 % d'énergie en plus). Et donc sa déviation va être plus importante : 3.066 millimètres par seconde. La déviation de janvier est 7 % plus importante que la déviation de juillet. | |
INTERPRÉTATION MATÉRIALISTE | |
Le sens de cette équation est très simple : Le choc des photons du Soleil dévie la trajectoire des planètes. La quantité de déviation dépende de l'énergie reçue: La lumière en provenance du Soleil correspond à l'équation de Planck appelée équation du corps noir. Cette équation indique la répartition des différentes sortes de photons qui nous parviennent en provenance du Soleil. Dans 1 joule provenant du Soleil, il y a des photons jaunes - un nombre entier de photons jaunes -, il y a des photons verts, des photons rouges, des violets, mais aussi des photons infrarouges, des photons ultraviolets. | |
Ces photons arrivent jusqu'à la Terre, jusqu'à Mars ou Jupiter, jusqu'à chacune des planètes du système solaire. Et leur arrivée sur chaque planète déclenche des milliards de chocs. Ce sont ces chocs qui dévient les trajectoires des planètes. Rien d'autre ! | |
LOI EN R² ET LA SURFACE D'UNE SPHÈRE | |
Cette loi multiplicative d'une constante est, évidemment compatible avec la loi d'Isaac Newton (issue de Kepler) La valeur de Kdevia est même calculée d'après les équations de Newton | |
Kdevia = (accélération locale / Eloc)/2 Accélération locale = G Mso / R² Et donc Kdevia = G Mso / ( R² * 2Eloc ) | Mso masse du Soleil G constante gravitationnelle |
Or Eloc = Etot / ( 4 pi * R² ) D'où Kdevia = G Mso / ( R² * 2Etot / ( 4 pi * R² ) ) Kdevia = G Mso / ( Etot /2 pi ) Cela indique que la loi en R² cache en fait une constante : Kdevia Constante Kdevia dont la valeur dépend de l'émission photonique du Soleil, de la masse attribuée au Soleil et de la constante G , constante gravitationnelle. | Etot Énergie totale émise par le Soleil par seconde |
Il faut noter qu'à l'origine, le premier constat qu'a fait l'auteur a été celui de la racine quatrième de l'énergie. L'équation de Kepler améliorée par Newton donnait Période²/ R3 = 4 pi² / G Mso Cette équation avait une autre écriture possible : Période²/ R = 4 pi² R² / G Mso G Mso / R = 4 pi² R² / période² G Mso / R = (2 pi R / période) ² GMso/R=(Vitesse de révolution de la planète) ² Mais cette équation pouvait se transformer à nouveau : Eloc = Etot / ( 4 pi * R² ) Et donc 1 / R = racine carrée (Eloc*4 pi/Etot) | |
Et donc alors : (Vitesse de révolution de la planète) ²= Gmso*racine carrée (Eloc*4 pi/Etot) | |
On avait alors la vitesse de révolution de la planète (moyenne sur un an) qui était proportionnelle à la quatrième racine de l'Énergie reçue ("constante" solaire) Vitesse de révolution de la planète = Eloc(1/4) * G Mso * 2 * racine carrée ( pi / Etot ) | Erratum (6/7/07) "proportionnelle" à la place de "égale" : le lecteur attentif de l'équation aura rectifié de lui-même. |
Cette équation (cumulative sur un an) cachait, en fait, l'équation Kdevia. | |
Un matérialiste considère donc les lois en R² comme le résultat d'une influence sphérique, comme le résultats de chocs en provenance d'une source centrale se répandant dans l'espace sur une forme sphérique. Le R² était simplement le rayon de la sphère | |
PARTICULARISATION DE L'ÉQUATION
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Cette loi, valable pour les planètes et leurs trajectoire ne fonctionne pas - sous cette forme simple - pour la gravité des objets attirés par les planètes.
La Lune devrait recevoir 627 joules (m-1 s-1) en provenance de la Terre
Et les objets tenus et lâchés sur Terre devrait recevoir 2260 kW pour justifier de l'accélération de 9.81 m par seconde².
Ce qui est - du premier abord - absurde.
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QUI CHERCHE TROUVERA | |
L'auteur n'attend pas d'avoir amélioré cette équation : qui le voudra, cherchera à trouver la solution complète.
Par Yanick Toutain
mardi 8 mai 2007
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À la date du 6/7/07, l'auteur n'a toujours pas la formule généralisée.
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26 juillet 2007 Derniers rebondissements : Newton avait envisagé une telle hypothèse ! Lire : Newton et le vent des moulins
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NOTES ET COMMENTAIRES
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"Mais devait-on interpréter la lumière comme une onde ou comme un ensemble de particules ? Il pensait encore, à titre d'hypothèse, que la lumière était un flux de particules matérielles, mais n'en explorait pas moins les phénomènes apparemment ondulatoires : " Les rayons lumineux ne se meuvent-ils pas parfois comme une anguille ?" Hooke enterré, Newton enterra également l'éther - ce milieu susceptible de vibrer sous l'action d'ondes lumineuses, à l'instar d'un étant qui transmet des ondes lorsqu'on y jette une pierre. Un tel éther interférerait avec le mouvement permanent des planètes - si parfaitement établi désormais.
Il se fiait à sa théorie corpusculaire : les rayons de lumière sont "de très petits corps émis par des substances brillantes ".23 Ainsi, il semblait prendre la mauvais chemin (...)
Note 23 Optiks, Question 29 , p. 370"
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Citation de
James Gleick
Isaac Newton
Un destin fabuleux
2003-2005 Dunod
p. 167-168
Cette biographie d'"un relativiste est plutôt honnête pour un partisan un peu borné de l'orthodoxie
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Surface d'une sphère : 4 pi R²
++++++
1367 : les crétins relativistes s'obstine à appeler ce nombre "constante solaire". (Et cela depuis 1837 et l'introduction de cette notion par Claude Pouillet)
Leur idiotie est double :
1° Ce nombre se modifie à chaque seconde. Dès que le trajet à parcourir du Soleil jusqu'à la Terre augmente, un nombre plus important de photons "loupe" la Terre et donc la "constante" solaire diminue
2° Mais leur bêtise incommensurable semble - aussi - ignorer le deuxième phénomène (décrit par Cotardière) " (...) les mesures effectuées (...) ont fait apparaître une décroissance de la "constante solaire" de 0.019 % par an, liée peut-être à l'un des cycles de l'activité solaire."
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+++++++++++++
| |
Ce texte a fait l'objet de plusieurs brouillons sur des cahiers depuis plusieurs années. Et est, naturellement la suite de l'équation "quatrième racine" publiée en 2002. Les deux raisons justifiant sa non-parution sur monsyte depuis octobre 2006 sont
1° L'absence complète d'interlocuteur matérialiste sur les forums fr.sci, acceptant simplement la notion de vide (la publication précédente de la fonction décrivant la quatrième racine de l'énergie n'avait déclenché que des commentaires imbéciles et dépourvus de quelque intérêt que ce soit
2° Le fait que cette équation est incomplète et ne décrit ni les modifications de trajectoires des satellites, ni la gravitation à proximité du sol d'une planète.
Le motif qui vient de déclencher sa parution en ce début mai 2007 est simplement un texte aimable de Monsieur Xaustein. Ce monsieur, dans le cadre d'un débat, en espagnol, avec un autre contributeur, a eu des propos extrêmement aimables me concernant - tranchant avec la bêtise méchante des habituels Armingaud, Caudron, Lauwaert et autres ânes relativistes, ignorant le plus simple commencement de la bible qu'ils revendiquent et passant leurs loisirs (importants) à remplir les forums fr.sci.physique de diatribes haineuses dont le seul et unique intérêt consiste en l'édification prochaine des millions de jeunes non diplômés, qui viendront bientôt puiser - là - la confiance absolue en leur intelligence confrontée à l'étalage affligeant de la bêtise crasse des ingénieurs diplômés, des étudiants de normal sup., des professeurs de physique et de mathématiques enseignant aussi bien en lycée qu'en université et qui ont déversé des kilomètres de stupidités qu'un enfant de 8 ans de 2020 regardera avec un ?il amusé, surpris et vaguement scandalisé..
Ces propos concernaient ma certitude des photons en tant que cause unique de la gravité.
Plutôt que d'inciter Mr Xaustein à aller simplement relire le texte "Aveugles que nous sommes" et de me contenter d'indiquer un lien permettant une lecture traduite (altavista-systran-babelfish) en espagnol, à son intention, ainsi qu'à celle de son interlocuteur, j'ai jugé bon de faire paraître cette équation incomplète.
Cela pourra être l'occasion d'une collaboration au cas où un lecteur franco ou hispanophone voudrait s'atteler à la généralisation de l'équation ( ou plutôt à sa "particularisation" dans le cas d'un milieu gazeux et dans le cas d'une gravitation multiple - ce qui est le cas des satellites, subissant le Soleil et leur planète).
|
Annexe
Les données bleu utilisées
| |||||
Rsote
|
149562419000
|
Ce n'est pas l'unité astronomique (c'est le rayon dans l'hypothèse Ain Al Rami)
| |||
Laphélie
|
152105142000
|
longueur du trajet des photons à l'aphélie (ce n'est pas une distance entre 2 corps)
| |||
Lpérihélie
|
147103311000
|
longueur du trajet des photons au périhélie (ce n'est pas une distance entre 2 corps)
| |||
ElocTerre
|
1367
|
(J/ ( m²,s)
| |||
GMso
|
1,327124380E+20
|
"constante héliocentrique de la gravitation" (m^3/s²)
| |||
Calculs
| |||||
SushT =surface sphère hélio Terre=4*pi*Rsote²
|
2,81096E+23
|
(m²)
| |||
Etot = ElocTerre*SushT
|
3,84258E+26
|
J / s
| |||
acT=accélération solaire subie par la Terre
|
0,005932895
|
m/s²
| |||
déviation par seconde² = acT / 2
|
0,002966448
|
m/s²
| |||
et donc
| |||||
Kdevia = déviation par seconde / Eloc
|
2,17004E-06
| ||||
Elocaph Eloc à l'aphélie = Etot / (4 pi *Laphélie²)
|
1321,678071
| ||||
Elocpérih Eloc au périhélie = Etot / (4 pi *Lpérihélie²)
|
1413,085956
| ||||
déviation par sec à l'aphélie = Kdevia * Elocaph
|
0,002868097
| ||||
déviation par sec à l'aphélie = Kdevia * Elocaph
|
0,003066456
| ||||
On vérifie : (Gmso / Laphélie²) / 2
|
0,002868097
| ||||
On vérifie : (Gmso / Lapérihélie²) / 2
|
0,003066456
|
NOTES
Ce texte, publié initialement sur Voila.fr (un site qui s'interrompait quand 60 lecteurs voulaient lire 2 pages chacun) avait été republié sur blogspot en 2009
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